Les querelles politiques actuelles s’enchaînent jour après jour comme lorsqu’un secret de famille surgit lors d’un enterrement. En théorie ces révélations peuvent aller loin. Surtout auprès du nerf de la guerre en Formule 1 : Les sponsors. Hors la mise en avant d’un logo ne suffit plus, le storytelling publicitaire a pris la place depuis 5 ans maintenant. Sauf que raconter une histoire dans un contexte instable n’est plus une bonne affaire…
Lire la suite de la Note du Mardi sur www.FanaticF1.com
Articles connexes
- Baisse de salaire, le choix entre Dollar et Euro
- Note du Mardi - L'alternative Ferrari dans un transfert
- Note du Mardi - la Formule 1, sport de seconde zone dans le domaine sponsoring
- F1 2016 - Les moteurs progressent en puissance
- F1 - Quand Santander fait du storytelling