F1 – La vérité sur la stratégie Ferrari à Abu Dhabi

La vérité sur Ferrari à Abu Dhabi La stratégie de Ferrari lors du Grand Prix d’Abu Dhabi laisse encore perplexe beaucoup de personnes. Ce fameux 15ème tour ou tout a basculé pour Fernando Alonso. La décision finale a été prise par Chris Dyer et l’information transmise pas Andrea Stella, l’ingénieur du pilote espagnol. Voici les communications radio entre les stands et Alonso révélée par la Corrière della Sera :

Tour 9 : Stella prévient Alonso : « Vous avez été plus rapide de 3 dixièmes sur Webber. Même Felipe s’approche. »

Tour 12 : Stella informe Alonso : « Webber s’est arrêté et Vettel perd du terrain sur Hamilton » – réponse de Alonso : « Si vous voyez que Felipe peu le dépasser dans un tour appelez le avant moi. – réponse des stands : « nous y pensons, concentrez vous sur Button. »

Tour 14 : Alonso : « comment est Felipe ? «« il est sorti derrière Webber »,  lui répond le stand.

Tour 15 : Le stand Ferrari prend la décision fatale : « Ok rentez maintenant » – Alonso répond « OK » – le stand lui précise alors : « vous sortirez près de Webber. Vous êtes devant. »

Tour 17 : Alonso demande : « Quelle est la situation ? » – Stella lui répond : « Nous devons dépasser la Renault devant nous, elle en s’arrêtera plus. Ensuite il y a Rosberg. »

Tour 22 : La situation est désormais claire. Le stand appel Alonso et semble désespérer. Stella indique : « Je le sais que tu nous en veux, mais il est fondamental de dépasser Petrov. »

Plus tard, le stand Ferrari poussera Alonso à réaliser un dépassement sur le pilote russe qui n’a jamais eu lieu.

Il est intéressant de constater que la stratégie de Ferrari a été faite au détriment de l’équipe et en fonction d’un  acteur. Poussant Alonso à subir une course, plutôt que de l’animer. Webber était la cible de l’aveuglement de la Scuderia, qui n’a pas évalué les arrêts de Rosberg et Petrov durant la voiture de sécurité. De plus, la stratégie de Massa ayant échoué, il est étonnant de voir que Ferrari s’entête à continuer dans ce sens. Enfin,  Contrairement à ce que Stefano Domenicali a indiqué dans sa déclaration d’après GP (voir ici), il n’y avait donc pas de problème de pneus sur la machine de l’espagnol. Juste une grosse erreur de Chris Dyer, le stratège de la Scuderia Ferrari.




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0 Responses to F1 – La vérité sur la stratégie Ferrari à Abu Dhabi

  1. Nagita dit :

    « De plus, la stratégie de Massa ayant échoué, il est étonnant de voir que Ferrari s’entête à continuer dans ce sens.  »

    Oui, incompréhensible.

  2. F1 only dit :

    Les pneus tendres d’Alonso pouvaient tenir encore combien de tour ?

  3. Selon les évaluations, les pneus tendres devaient être changés entre le 23 et 25 ème tour. Webber devait d’ailleurs les changer à l’origine dans cette fenêtre là.

  4. Lebéarnais dit :

    F1 only : autant que ceux qui sont devant car Alonso a déjà démontré qu’il savait économiser ses pneus.

  5. Blitz dit :

    Pff…Y a de quoi être encore plus dégoûté!C vraiment rageant en tant que fan d’Alonso,j’arrive pas à comprendre qu’une telle erreur puisse être commise par Ferrari!Alonso a perdu le titre a cause de ça,super! :(

  6. EstebanF1 dit :

    Ce n’est que justice, j’admire beaucoup Alonso mais c’est la seule équipe qui n’a pas joué l’équité et le sport, elle ne méritait vraiment pas de gagner…

  7. starbuck dit :

    Alonso DOIT démissionner !
    Il aurait dû voir de lui-même que cette stratégie allait lui couter le titre.

    (bon ok j’arrête de troller)
    Il faut reconnaitre que sur ce coup là, ils ont loupé un titre qui leur était offert sur un plateau d’argent.
    Comme quoi c’était facile de se moquer d’Hamilton en 2007…

  8. F1 only dit :

    Les 11 ou 12 tours qu’Alonso aurait pu faire avant de passer en gomme plus dure, auraient ils suffit pour prendre un peu de marge et rester devant Pétrov?
    En décodé, quels étaient les temps au tour pour les 2 voitures à ce moment là du GP ?
    Je n’ai pas vu ce GP donc je cherche à comprendre un peu…

  9. Lepalm dit :

    Les 3 derniers tours d’Alonso avant son changement de pneus étaients parmi les plus rapides. Il est très clair qu’en restant en piste, en supposant que les pneus pouvaient tenir encore un peu (ce qui à l’air d’être le cas), il aurait pris du temps sur Petrov, sur ce point, y’a aucun doute.

    Je pense même qu’en faisant encore 5 ou 6 tours de plus, il passait même Rosberg, et s’il était devant Rosberg après son arrêt, Kubica serait aussi derrière Alonso. Evidemment, ces hypothèses ne sont valables que dans le cas où seul Alonso change sa stratégie de course. En pratique, si Alonso n’avait pas stoppé au 15eme tour, il y a fort à parier que les autres équipes auraient agi légèrement différemment.

    Sinon, je pense que ce n’est que justice qu’Alonso ait perdu. Tout le monde parle du GP d’Allemagne, mais je me rappelle aussi du dépassement de Massa dans l’entrée dans les stands, et ça, personnellement, j’ai trouvé ça très très moche. Déjà que sur un concurrent, ça aurait été moche, mais sur son propre équipier… Il avait quand même toutes les chances de s’accrocher avec Massa. Heureusement que Massa n’a pas trop forcé ce jour-là…

  10. F1 only dit :

    Merci Lepalm ! 😉

  11. ekvin dit :

    il manque quand même dans la retranscription offerte le magnifique et désespéré « ok, so now we need you to use the power of your talent » lâché par Stella à 5 ou 6 tours de l’arrivée

  12. redstorm59 dit :

    mais il faut arreter de dire que ferrari a perdu le titre a cause de cette strategie, on perds ou l on gagnes un titre sur une saison et non sur un GP. ils ont d autres erreur lors du deput de saison qui lors a couté pas mal de points plus les pbroblemes de fiabilité

  13. iceluc dit :

    @Blitz et pour illustrer les propos de Redstorm59

    Les erreurs d’Alonso
    Australie
    1er tour : Alonso part tout seul en tête à queue…
    22ème tour : Alonso rate un freinage et se fait passer par Webber
    Chine
    Alonso vole le départ
    Monaco
    Après avoir détruit sa monoplace, Alonso ne peut prendre part aux essais
    Turquie
    12ème de Q2, Alonso ne passe pas en Q3 contrairement à Massa qui sera en 4ème ligne
    Canada
    A 15 tour de la fin, Alonso appréhende mal le dépassement d’un retardataire (Chandhock) et se fait passer par Button qui lui chippe la 2ème place
    Valence
    Alonso préfère râler contre Hamilton qui a dépassé la voiture de sécurité devant son nez, il ne résistera pas à Kobayashi qui a retardé son arrêt aux stands et fini à une anonyme 9ème place coincé entre Buemi et De La Rosa
    Silverstone
    1er tour : Qualifié 3ème, Alonso rate complètement son départ résiste à Massa au point de l’envoyer aux stands après avoir crevé son pneu arrière droit
    17ème tour : Alonso double Kubica mais court-circuite la chicane suivante mais refuse de rendre la place acquise contre le réglement, il écope d’un drive through qui le fera finir à 14ème place
    Spa
    38ème tour : Alonso sort de la piste après avoir tutoyé une bordure détrempée et abandonne

    Les erreurs de la Scuderia
    Malaisie
    Q1, la scuderia attend que la piste s’améliore pour envoyer ses pilotes refaire un tour qualif en Q1, la piste ne s’améliorera pas, Alonso et Massa sont 19ème et 21ème
    Abu Dhabi
    Marquant Webber à la culotte plutôt que Vettel, la Scuderia fait rentrer Alonso 4 tours après Webber, il ne dépassera jamais Petrov jusqu’à l’arrivée

    Je dénombre donc 8 erreurs d’Alonso contre 2 pour son équipe, je pense même que Vettel n’a pas fait tant d’erreurs même si certains pensent que les siennes furent plus grossières, ce qui reste à prouver…

  14. Lepalm dit :

    @restorm59 : Certes, mais cette erreur lors du GP d’Abu Dhabi est quand même suffisament énorme pour expliquer à elle-seule pourquoi alors qu’ils étaient en position de force (Alonso était 3eme sur la grille de départ, devant Webber, il lui suffisait de terminer devant Webber, et pas plus loins que 4eme si Vettel restait en tête, c’était largement faisable), ils ont finalement perdu.

    Après, si on veut compter les erreurs de chacun au cours de la saison, je crois que Redbull y perd, car vu le nombre de casse, d’accidents qu’ils ont eu pendant l’année… Surtout que souvent (si ce n’est pas toujours, mais j’ai la flemme d’aller vérifier), les accidents/casses arrivaient quand ils étaient très bien placés (la casse moteur de Vettel en Corée alors qu’il menait la course, le crash en Turquie alors que les deux RedBull partaient pour faire le doublé, etc).

    Pour Ferrari, j’ai en mémoire que la casse moteur d’Alonso en Malaisie (il me semble), mais il n’était pas « très » bien classé, cette casse moteur ne lui a pas couté « trop » de points.

    Enfin, pour revenir au sujet de base, certes une saison ne se résume pas à une seule course. Mais dimanche matin, en regardant la grille de départ, mis à part sur un soucis mécanique, ou sur une grosse erreur soit de pilotage, soit de stratégie, Alonso ne pouvait pas perdre.
    Eh bien il y a eu cette erreur de stratégie, et je suis désolé, mais perdre le championnat sur la dernière course alors que tu as ton destin en main, voire même bien en main dans le cas d’Alonso, c’est moche.
    Toutes les courses de la saison ont débouché sur le fait qu’il ne restait que 3 prétendants (j’exclue volontairement Hamilton, 24 points de retard, fallait que les 3 autres abandonnent et que lui gagne en gros…), et que parmi ces 3 prétendants, y’en a un qui était tranquille : Alonso.

    Clairement, ils n’ont pas su gérer la pression, et ont fait une erreur de débutant (je suis d’accord avec ceux qui disaient que ce genre d’erreur ne serait jamais arrivée sous Todt/Brawn). Demander à Alonso de rentrer au 15ème tour, alors que Webber était manifestement en difficulté sur sa monoplace (il n’arrivait plus à suivre le rythme, et se plaignait de perdre son train arrière), s’était la pire chose à faire. A ce moment là, il était un des plus rapides en course, si ce n’est LE plus rapide. On ne fait pas rentrer un pilote qui prend du temps sur tous les autres, sauf dans des cas très particuliers. Et surtout…
    SURTOUT !!!

    Tout le monde sait qu’un arrêt aux stands, ça coute de 20 à 25 secondes selon les circuits. Il suffisait de regarder les pilotes qui étaient à moins de 25 secondes d’Alonso juste avant son arrêt, et dans la liste, y’avait Rosberg et Petrov qui avaient déjà fait leur seul et unique arrêt (même si à ce moment-là, le doute pouvait subsister quand au fait qu’il s’agissait de leur unique arrêt).
    Il ne fallait donc absolument pas ravitailler, à moins d’une urgence (crevaison lente, aileron en rade, etc), attendre d’avoir 25 secondes d’avance sur Rosberg (pilote ayant déjà ravitaillé le mieux classé) et seulement à ce moment, ravitailler.

    Le fait que Webber ravitaille en catastrophe était une aubaine pour Alonso, car ça éliminait automatiquement Webber, puisque relégué loin derrière, et surtout derrière 2 voitures qu’il devait forcément dépasser, et ce, sur un circuit sur lequel il est très difficile de doubler.

    Si Alonso était resté en piste, il aurait pu aller à son rythme tant que ses pneus fonctionnaient (il avait la piste libre devant lui), pendant que Webber aurait pataugé dans le trafic, et il aurait pu lui prendre comme ça plusieurs secondes. Et surtout, il aurait pu prendre du temps sur Rosberg et Petrov afin de ressortir devant eux.

  15. Chuck dit :

    Alonso a-t-il expliqué son geste de mauvaise humeur envers Petrov ?

  16. gollum95 dit :

    c’est marrant, a écouter tout le monde c’est la faute de l’écurie, autant que je sache, le pilote est aussi libre de faire ce qui veut et de ne pas rentrer au stands s’il trouve que la stratégie est nulle. J’ ai souvenir des coms radio d’alonso a silverstone.. à l’époque il se gêné pas pour dire a ferrari que c’était lui le patron…

    Maintenant alonso obtenir un titre après le crashgate, ca peut pas le faire…

  17. Lepalm dit :

    @gollum95 : Oui c’est essentiellement la faute de l’écurie. C’est elle qui a les écrans de contrôle sous les yeux, Alonso, lui n’avait que sa vitesse et son rapport sous les yeux. Il pouvait pas deviner que Petrov et Rosberg étaient à moins de 25 sec.

    Après, j’imagine sans mal qu’Alonso n’était focalisé que sur Webber, et Vettel dans une moindre mesure. Les ingénieurs Ferrari n’avaient pas le droit d’occulter tous les autres pilotes, surtout qu’ils avaient sous les yeux toutes les informations nécessaire, puisque finir 4ème suffisait. On ne finit pas 4ème en ne faisant attention qu’à 2 des 23 autres pilotes en lice.

    De plus, j’trouve ça hallucinant que nous, simples téléspectateurs sommes capables en pleine course de savoir que ravitailler au 15ème tour signifie ressortir derrière Rosberg et Petrov avec uniquement le Live Timing sous les yeux, alors que les ingénieurs Ferrari ont le Live Timing sous les yeux, mais ont aussi les moyens de simuler les conséquences d’un arrêt aux stands à tel ou tel tour.

    Je crois juste qu’ils étaient tellement omnubillé par Webber (et uniquement Webber), qu’ils n’ont fait attention à rien d’autre, et en particulier pas au fait que des pilotes ayant déjà ravitailler naviguaient à moins de 25 secondes d’Alonso.

    C’est facile de dire qu’Alonso pouvait dire « non », mais sans avoir tous les éléments d’informations, c’est beaucoup plus difficile. Alonso, comme tous les autres pilotes, est obligé de faire un minimum confiance à son équipe. Si on lui dit : « Ok rente maintenant, tu sortiras près de Webber. Tu es devant. » (j’en profite d’ailleurs pour signaler que ce n’est pas « vous », mais « tu »… Massa n’a jamais été devant Webber, sauf quand il n’avait pas encore ravitaillé)

    Tu parles de Silverstone et de l’attitude d’Alonso par rapport à son stand.
    Le pilote peut savoir si oui ou non il est bon de ravitailler, quand c’est pour une question d’usure de pneus, ou lorsqu’ils sont à fond les quelques tours avant de ravitailler, car leur avis compte. Ils savent si oui ou non la voiture et l’état des pneus leur permettra d’enchainer les mêmes temps, ou si la voiture est tellement inconduisible qu’il vaut mieux changer les pneus au plus vite.

    Dans le cas d’Abu Dhabi, ce n’était pas le cas, le ravitaillement n’était pas une question de gestion de pneu, mais une stratégie pure et simple qui consistait à suivre la même stratégie que Webber. A priori, l’équipe et Alonso se sont mis d’accord avant le GP pour appliquer cette stratégie, du coup, lors du GP, quand on lui a dit « Webber a ravitaillé, fais en de même », il n’a fait qu’appliquer la stratégie.

    Je n’aime pas Alonso, voire même, je ne le supporte pas. Mais sur ce dernier GP, je crois que les trois éléments qu’on puisse lui reprocher sont son départ trop frileux, son incapacité à doubler Petrov (bien que ce soit ultra difficile à Abu Dhabi) et son geste d’humeur à l’encontre de Petrov. Lui mettre sur le dos le fait qu’il n’ait pas refusé de ravitailler, alors que manifestement, il s’agissait de la stratégie définie avant la course, je trouve ça un peu osé.

  18. dan001 dit :

    Ce qui est étonnant c’est :

    Si on avait voulu faire perdre le titre à Alonso et bien fallait appliquer cette strtégie.

    Ce qui est encore plus surprenant, vu le niveau et l’expérience de Ferrari, c’est de voir l’entêtement qu’il on mit à tenir cette stratégie.

    Je ne parle même pas d’Alonso qui savait exactement la situation. Alonso à fait preuve de naiveté ? Je n’y croit pas une seconde.

    Je rejoins gollum95, pas sur le crashgate, mais sur le grand prix d’Hockemheim…

  19. kimi80 dit :

    +1 iceluc

  20. magnum dit :

    100% d’accord avec lepalm , quelle frustration…

  21. steve dit :

    On dit merci qui? merci chris dyer :mrgreen: :mrgreen:

  22. iceluc dit :

    vu le nombre de boulettes d’alonso cette saison, on dit surtout merci fernando!!

  23. gollum95 dit :

    Des stratégies définies avant la course… tient donc ca me rappelle une course nocturne…
    Pour en revenir au championnat, la vérité c’est que si vettel ne perd pas les 3 courses (Bahrein,Melbourne, corée) sur incident moteur, le championnat aurait été très vite plié, comme en 2009 c’est le moteur renault qui plombe redbull, faudra sérieusement faire quelque chose en 2011.

  24. Le_Fan dit :

    Parce que le moteur Ferrari n’a pas plombé Ferrari peut être?

    Alonso ne mérité pas se titre de toute manière. Bravo à Iceluc je ne vois pas grand chose a rajouter a son commentaire.

  25. geoffrey dit :

    @Gollum95 :
    Ton analyse est érronée.
    Le moteur Renault n’a causé qu’un seul abandon, en corée. Barhein c’était un problème de bougie, le moteur n’a pas cassé. Melbourne c’était un problème avec la roue avant gauche. Et il me semble bien (sauf oubli de ma part) que le moteur Renault n’a causé aucun problèmes au Renault F1 team.
    Je pense que le vrai problème de fiabilité, ce n’est pas du coté de Renault Sport qu’il faut chercher.

  26. Shogun_971 dit :

    +1 Geoffrey et Iceluc!

  27. SupertomtomGPS dit :

    Je rejoints geoffrey sur le fait que le moteur Renault n’est pas le point faible mais je pense plutot que c’est l’utilisation (et le positionnement ds la voiture) qui est à l’origine des casses moteurs sur les RedBull.

  28. kazko dit :

    « Ce qui est encore plus surprenant, vu le niveau et l’expérience de Ferrari, c’est de voir l’entêtement qu’il on mit à tenir cette stratégie. »
    Moi je ne suis plus du tout surpris des erreurs de stratégie de Ferrari depuis… 2008, disons. :roll:

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