GP du Canada, l'effet papillon d'Ecclestone

Le maire de Montréal, Gerald Tremblay souhaite sauver son Grand Prix en intiment Bernie Ecclestone à une rencontre rapide afin de clarifier du calendrier, c’est-à-dire, que le Grand Prix du Canada, sur le circuit Gilles Villeneuves, doit être toujours présent en 2009. Le prix sera payé.

Avec un contrat valable jusqu’en 2011, le pays a accusé le coup lors de l’annonce en début de semaine de sa non validation lors du calendrier FIA de 2009. Un choc qui est remontré jusqu’au gouvernant, conscient de l’impact économique que représente la Formule 1 dans cette région de Montréal.

C’est en faite une grande victoire pour Bernie Ecclestone et un effet papillon envers toutes ses futures cibles. La concession du GP du Canada est de 20 millions de dollars. Le prochain contrat, avec l’intervention des pouvoirs publiques, augmentera donc significativement, et surtout offrira les garanties que souhaitent Ecclestone.

Restera pour l’argentier à contrer la FOTA qui a décidée, lors d’une réunion durant le week end de Monza, de conserver un tarif préférentiel auprès des Grand Prix de : France, Angleterre, Allemagne, Italie, Belgique et Monaco. Une proposition qui ne va pas dans le sens idéologique d’Ecclestone. Mais les prochains Accords Concordes risquent bien de sauver ce noyau de course européenne, afin de créer un socle et permettre l’exportation du label ‘F1’ dans le reste du monde.




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