La Formule 1 en crise de repreneur

A l’heure ou l’économie se regarde le nombril, la Formule 1 souffre. Super Aguri morte sans repreneur, Toro Rosso en délicatesse, Prodrive morte née et Force India en crise. Le tableau économique n’est guère reluisant. La faute au règlement peut être, mais aussi à l’attractivité de la F1.

La faute à une Formule 1 valorisée 3 milliards de dollars depuis bientôt 10 ans, sans évolution aucune, donc sans vraiment de belle perspective. Et la faute au règlement sportif interdisant les châssis client ou donnant trop de contrainte aux équipes. Alors les milliardaires du monde se dirigent sur le football, et surtout vers la premier league anglaise.

Après Roman Abramovitch et récemment le Sulaiman Al-Fahim (propriétaire de Manchester City), le football anglais attire les riches. Selon The Sun, le richissime homme d’affaires indien, Anil Ambani (6ème fortune du monde) serait très intéressé par le rachat d’Everton. Liverpool intéressen un fonds d’investissement. D’autres suivront, mais pas en Formule 1.

Une crise que Bernie Ecclestone gère déjà, mais qui sera difficile à surmonter. La dernière équipe entièrement sortie de terre (hors Super Aguri) restera Stewart Grand Prix…en 1997.




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