Selon le communiqué de la FOTA, le prochain règlement de la Formule 1 à l’horizon 2013 devra répondre à la problématique de la réduction des consommations de carburant. Reste une question : la technologie sera-t-elle libre ?
Biocarburant, hydrogène voir diesel, les possibilités d’avenir sont nombreuses, et déjà quelques constructeurs ont émis l’idée d’une arrivée (ou d’un retour) en Formule 1, si ce projet est mis en œuvre.
Honda, avait par le passé annoncé qu’un retour serait possible si la possibilité d’utiliser l’hydrogène est garanti (voir : Honda). Une technologie que BMW étudie depuis de nombreuse année et qui pourrait être également un argument de retour. D’un autre coté, du coté d’Audi, voir Peugeot, les échos indiquent que si le Diesel est autorisé, le cas Formule 1 serait fortement étudié.
Les biocarburants sont aussi au centre des intérêts de la Formule 1. Les puissants pétroliers (Exxon Mobil, Shell et Total en tête), étudient la possibilité de faire courir des moteurs F1 avec ce carburant.
Toutefois, il est intéressant de constaté que toute ses technologies ne concernent encore que des véhicule motorisé par un groupe propulseur classique adjoint à un système de récupération d’énergie ou hybride. Pas encore de F1 électriques sous le soleil.
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Pour choisir il faudra d’abord penser aux équivalences énergétiques entre carburants : on va peut être redécouvrir les valeurs du Joule. Ensuite, pourquoi se contenter de cycles thermiques ? Il existe bien des façons, de l’élastique enroulé au plutonium, d’obtenir du mouvement à partir de l’énergie. Parions toutefois que l’endurance est un terrain nettement plus propice et que la F1 en restera aux déclarations rutilantes …