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Note du Mardi – Hamilton prépare sa fin de carrière F1

notedumardi-900x6757165869066367047722.jpgLe départ de Marc Hynes de l’entourage de Lewis Hamilton marque une nouvelle étape dans l’après pour le septuple champion du monde.

Hynes était le consultant en affaire d’Hamilton, s’occupant de ses intérêts commerciaux et de sa logistique et il était directeur général de la société Project 44 depuis 2016. Les deux hommes se connaissent depuis de nombreuses années, la séparation s’est faite au moment de la finalisation de la prolongation de contrat 2021 d’Hamilton avec Mercedes AMG F1. Un contrat d’une saison auquel Hynes n’a rien à voir. Le pilote anglais ayant lui-même négocié l’accord.

Les 3 étapes de l’évolution du management d’Hamilton

Depuis son arrivée en Formule 1 en 2007, Lewis Hamilton a eu trois modes de gestions. Chacun étant le reflet de l’évolution du métier d’agent. Anthony Hamilton, son père qui de 2007 à 2010 a géré, avec les conseils de Julian Jakobi, le début de carrière de son fils. Le modèle du binôme ressemblait beaucoup au début de Jacques Villeneuve en 1996/1997 (avec ce même Jakobi en conseiller de Craig Pollock). D’ailleurs en 2009, comme une impression de déjà vu, Anthony Hamilton travaillait sur un plan de reprise de Renault F1 Team, afin de reproduire le même projet que BAR/Villeneuve/Pollock en 1999. C’était l’époque d’un modèle du métier d’agent de légende qui arrivait en bout de cycle.

En 2011, séparé de son père, Lewis Hamilton signe un accord avec Simon Fuller et la société XIX Management. Les deux hommes vont esquisser une nouvelle approche avec un business plan sur 10 ans ayant pour vocation de faire du pilote le plus populaire et le plus riche de son sport. La signature du premier contrat avec Mercedes F1 en 2013 était un remake de celui de Ferrari/Schumacher en 1996, mais la médiatisation du pilote était fortement inspirée de David Beckham (que Fuller avait développé dans les années 2000). L’approche était plus moderne que la précédente, mais elle était déjà datée au moment de son application. Fin 2014, Hamilton rompe son contrat avec XIX Management.

Ainsi, la création de Project 44 émergea pour gérer l’ensemble de ses intérêts, à la manière de la Ayrton Senna Management (créer par le pilote et Julian Jakobi en 1992). La base du travail était de reprendre le travail inachevé de Fuller. En 2015, le champion anglais signe avec la société de communication et marketing américaine, Purple. La communication par les réseaux sociaux va devenir au centre de sa stratégie marketing. Objectif : devenir un leader.

Construire un projet pour l’après

Hynes arrivera en 2016 pour discuter en amont des questions contractuelles et devient le conseiller le plus proche d’Hamilton. C’était l’époque ou le champion anglais doutait et voulait arrêter sa carrière. Il fallait un soutien et un nouveau profil. Le manager anglais sera l’homme du renouvellement du contrat de 2016 puis 2019. Il soutiendra l’évolution d’Hamilton dans sa transformation et ses diversifications (équipe Extreme E étant le premier aspect le plus visible), mais également la signature de contrat lucratif comme le dernier avec LG pour mettre en avant une gamme premium de smartphone.

En parallèle le pilote a une valeur médiatique estimé à 1 milliard d’euros. Un poids certain dans les négociations avec Toto Wolff. Ajoutant les positions politiques d’Hamilton durant la saison 2020, la position de Leader est désormais acquise.

Le départ de Mark Hynes marque un tournant dans la carrière d’Hamilton. Le remplaçant sera un gestionnaire de patrimoine (qui prendra la direction de la future Fondation co financé par Hamilton et Mercedes-Benz) et non un profil d’investisseur. Le septuple champion du monde ayant lui-même négocié son renouvellement de contrat, il n’a plus besoin de conseil en la matière. Ce qui est indicateur probable d’une fin.

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Note du Mardi – Verstappen, l’homme qui valait 120 millions ?

Note du mardiDevenu une constante depuis une dizaine d’année. Lorsqu’un jeune pilote crève l’écran des chiffres sur sa valeur sont annoncés. Max Verstappen ne fait exception à la règle. Helmut Marko estime la valeur du pilote hollandais à 120 millions d’euros.

Lewis Hamilton le premier

Fin 2007, Lewis Hamilton négocie son nouveau contrat avec Ron Dennis. Initialement le futur triple champion du monde avait paraphé un contrat de trois saisons (2007/2008/2009), avec une promesse de 700.000 dollars la première année et 3,8 millions la dernière année. La prestation d’Hamilton durant sa première saison en Formule 1 a bouleversée cette zone de confort entre les parties. Anthony Hamilton, sur les conseils de Steve Robertson, pilote la communication et la presse anglaise annonce que Lewis Hamilton a une valeur de 100 millions de dollars. Une introduction en bourse avait été annoncée pour justifier le chiffre.

En Janvier, Hamilton signe un contrat de 5 ans d’une valeur de 100 millions d’euros.

Vettel, l’homme qui valait 70 millions

Après son premier titre de champion du monde en 2010, Sébastian Vettel était un pilote faiblement payé. Seulement 1,5 millions d’euros de salaire. Durant l’hiver, alors que lefutur quadruple champion du monde est convoité par les plus grands agents du paddock, c’est Willy Weber qui annonce à la presse populaire allemande que la valeur de Vettel est de 70 millions d’euros.

Un contrat de quatre saisons (2011/2012/2013/2014) est signé avec Red Bull Racing. Vettel  devait toucher au total de 46 millions d’euros. Pour finir son contrat a été rapidement réévaluée pour atteindre la valeur de 70 millions total.

Verstappen et son futur contrat

Selon le BusinessBookGP 2017, Max Verstappen a vu revaloriser son contrat cette saison. Passant de 1 million à 6 millions d’euros. Sur le papier, le vainqueur du Grand Prix d’Espagne 2016 est sous contrat jusqu’en 2019. Pour 2018, son salaire sera réévalué une nouvelle fois pour s’approcher des 10 millions d’euros annuels. Mais après ?  Il n’est pas impossible qu’un important salaire lui soit présenté pour que tout l’ensemble approche des 100 millions d’euros total, soit 20 millions d’euros par années.

Pour rappel, en début de saison 2016, la valeur du contrat de Verstappen avec Red Bull Racing était de 25 millions d’euros. La valeur marketing et la victoire ont bouleversé les plans.

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Note du Mardi : Verstappen et le modèle des agents

Note du mardiEn marge du Grand Prix d’Espagne, théâtre de son exploit, une rumeur indiquait que Max Verstappen n’allait plus être managé par son père Jos. Une mauvaise interprétation, car en réalité c’est une nouvelle organisation qui se construit autour du plus jeune vainqueur de Grand Prix.

Auparavant un pilote avait un seul agent le représentant sur les circuits et dans les coulisses. Le modèle était entendu depuis les années 80.  L’homme de confiance organisait tout, comme Willy Weber, l’illustration du super agent gérant l’ensemble des aspects économiques de son client pilote. Puis progressivement à l’aube des années 2010, le modèle s’effrita.

L’ère de l’agent unique est révolue

Déjà Lewis Hamilton avait rompu avec son père Anthony qui gérait ses affaires depuis ses débuts en course automobile. Puis Sébastian Vettel n’avait pas d’agent, alors qu’il venait de remporter son premier titre de champion du monde. Jenson Button était représenté par un avocat d’affaires et a lancé son agence. Seul Kimi Raikkonen (Steve Roberston), et Fernando Alonso  (Luis Garcia Abad et Flavio Briatore) continuaient de faire confiance au vieux schéma, comme Nico Rosberg, dont le père Keke couve les intérêts du fils depuis ses débuts en Formule 1.

En 2014, Craig Pollock, ex-agent de Jacques Villeneuve, avait crée une société sous le patronyme de The Pollock Formula et avait dans la foulée noué un partenariat avec la société marketing V & V en proposant que la première société s’occupe de la collecte de fonds (investisseurs et sponsors), tandis que la seconde s’occupe de la gestion des pilotes et de leur image. Quelques mois plus tard, Lewis Hamilton quitta Simon Fuller et sa société pour déléguer à une société marketing américaine, Purple Media, la gestion de son image. Le triple champion du monde estimant qu’il était en mesure de gérer lui-même certain aspect de sa vie professionnel. Son père Anthony n’intervenant que dans certains points précis.

Le modèle Briatore appliqué au management

Il y a 20 ans, Flavio Briatore avait mis en place le concept à deux têtes. Avec un agent gérant les intérêts non sportif du pilote et lui-même en consultant s’occupant des relations publiques, sponsoring et orientation de carrière. Un système qui fonctionne encore avec Fernando Alonso aujourd’hui.

L’organisation autour de la carrière de Max Verstappen s’en inspire fortement. Son père Jos a arrêté sa chronique dans un journal hollandais pour devenir le principal représentant de son fils dans les médias. Un processus permettant de retirer la pression médiatique sur les épaules du jeune homme. Tandis que Raymond Vermulen (ex agent de Jos), s’occupera en coulisse de gérer les intérêts du jeune pilote.

Homme discret, Vermulen est celui qui a toujours permis au pilote hollandais de trouver des budgets pour obtenir un volant en Formule 1 auprès de sociétés néerlandaises. Il est déjà indiqué qu’un plan de valorisation est déjà en action autour du jeune Max pour en faire l’équivalent en affaire de Michael Schumacher.

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Début du jeu médiatique autour du contrat Hamilton-Mercedes

Nico Rosberg, Lewis Hamilton GP Allemagne 2014Maintenant que Nico Rosberg a sécurisé son avenir, Mercedes se tourne vers le second volant. Si Lewis Hamilton est naturellement favori à sa succession, deux autres pilotes sont en approche : Fernando Alonso et Sébastian Vettel.

Hier, le magazine Autosprint a indiqué que Fernando Alonso, via son agent Luis Garcia Abad,  a été sondé les responsables de Mercedes AMG F1 sur l’intérêt qu’ils pouvaient avoir pour le pilote espagnol. Nous ne savons pas quand cela est arrivé, mais cela est une preuve des rumeurs de Juin introduisant le double champion du monde dans les murs de Brackley. Le magazine italien source à Stuttgart, le siège de la marque allemande.

Aujourd’hui Sport Bild fait échos des propos de Jacques Villeneuve sur l’intérêt de Mercedes AMG F1  pour Sébastian Vettel. L’objectif étant de présenter une équipe 100% allemande.

Comme nous vous l’annoncions ce matin, Lewis Hamilton a mandaté son père Anthony pour les négociations de son nouveau contrat qui s’annonce féroce. L’agent anglais a déjà annoncé la couleur en épousant le souhait de la marque allemande de prolonger le pilote en 2016 et 2017 avec une option pour 2018, mais la contre partie d’une très importante augmentation salariale.

L’agitation débute ainsi autour du second baquet Mercedes ne font qu’amorcer sa montée en puissance. Mercedes ayant renouveler en premier le contrat de Rosberg, Hamilton avait proposé un comportement distant et parlait de Ferrari la semaine dernière. Aujourd’hui il faut noter que  les récentes divulgations d’Autosprint, Sport Bild et nos détails démontrent que l’ambiance n’est pas calme autour d’Hamilton.

Contre les exigences du clan Hamilton, il est opposé Alonso et Vettel comme contre-mesures. Notons au passage que le renouvellement de Rosberg a été nettement moins violent et plus discret. Traduisant une réelle envie de continuer l’aventure…

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Hamilton inverse les rôles chez Mercedes

Lewis Hamilton GP Allemagne 2014Dans les jours succédant l’annonce de la prolongation de Nico Rosberg, Toto Wolff et Niki Lauda ont débuté les discussions avec Lewis Hamilton pour une prolongation de contrat dans la même aspiration que ce qui avait été conclu avec le pilote allemand. Si Lauda a directement été démarché le pilote, suivant ses méthodes. Wolff cherchait un interlocuteur, il l’a désormais trouvé en la personne d’Anthony Hamilton.

Lorsque Simon Fuller a signé son contrat de management avec Lewis Hamilton en 2012, l’ambition de l’impresario était de reproduire à l’échelle de la Formule 1 le succès de David Beckham. Homme de marketing, il avait soufflé l’idée d’emmener Roscoe, le chien d’Hamilton dans le paddock et de transformer le pilote en personnage fun. Pour entretenir sa notoriété le pilote doit réaliser presque toute les semaines des voyages aux Etats-Unis, suivant le plan média. Des voyages fatiguant et sans résultats tangibles pour le moment. Hormis donner l’impression d’un pilote de talent s’éparpillant, l’image de champion du monde 2008 s’entrechoque avec celle de Nico Rosberg, concentré sur l’objectif du titre.

Courant Juin, voyant qu’il avait besoin de plus de rigueur si il voulait viser sérieusement le titre pilote, Hamilton a demandé à son père de revenir dans son entourage. C’est pourquoi Toto Wolff a débuté les discussions sur l’avenir du pilote, non pas avec Simon Fuller, mais avec Anthony Hamilton depuis une semaine. Un changement notoire pour l’avenir.

Dans l’aspiration du contrat actuel, Mercedes propose une extension pour 2016 et 2017 avec une nouvelle option pour 2018.  Nous entendons qu’Anthony Hamilton a déjà donné le ton en indiquant que le salaire de son fils devra être augmenté de 5 millions d’euros chaque année et que l’option 2018 sera validée à la condition qu’il devienne champion du monde sur la période 2015-2017!

Le contrat actuel garantissait 20 millions d’euros en 2013 et 2014 et une augmentation à 25 millions d’euros pour 2015. La prime de titre était fixée à 5 millions d’euros. Pour 2016 le salaire sera de 30 millions d’euros, 35 millions d’euros en 2017 et donc 40 millions d’euros en 2018 en option ! Soit le double de ce que touchera Nico Rosberg. Une manière d’affirmer le statut de premier pilote informellement à son équipier et dans l’équipe.

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Hamilton débute sa stratégie d’avenir

Lewis Hamilton Mercedes W05Après la course d’Hockenheim, Jenson Button entre en discussion avec Lewis Hamilton. Les deux hommes s’expliquent sur l’incident durant le Grand Prix. Le bref entretien entre les deux hommes terminé, Hamilton glisse à des journalistes anglais assistant à cette discrète réunion : « Honnêtement je pensais qu’il allait m’ouvrir la porte pour me laisser passer. Il a été un peu comme ça dans le passé, j’ai mal jugé la situation ». Invité à réagir aux propos d’Hamilton, Button c’est exclamé : « Mais pourquoi devrions-nous le laisser passer ? Je suis là pour faire ma course. Il serait ennuyeux de le laisser passer quand il part de loin. » Pour conclure le pilote McLaren lance un énigmatique : « Lewis est étrange… »

En coulisse Toto Wolff et surtout Niki Lauda, dans l’aspiration du renouvellement de Nico Rosberg, ont estimé qu’il fallait s’occuper de Lewis Hamilton. Le champion du monde 2008 a été harcelé durant tout le week-end pour donner une conclusion au renouvellement de son équipier chez Mercedes et clarifier sa situation contractuelle. Le duo autrichien a débuté ses approches, mais à qui parler ? Il semble que Simon Fuller, l’agent de David Beckham, qui s’occupait jusqu’alors des intérêts d’Hamilton ne soit désormais relégué que sur des questions marketing et communication. Le retour fin juin d’Anthony Hamilton, le père du pilote, est un signe que le champion du monde 2008 ne prend pas à la légère son avenir dans l’équipe. Une situation compliquée ne facilite pas le dialogue entre les parties. Lauda, comme à son habitude, a directement discuté avec Hamilton de cette situation. Pour faciliter le dialogue.

Pour l’avenir si la promesse d’un retour chez McLaren se dessine, Hamilton a lancé dans Welt am Sonntag qu’il a pensé également à Ferrari, tout en confirmant qu’il est très bien chez Mercedes. Une communication qui signifie que le pilote est entré dans une position de négociation avec le constructeur allemand qui sera tendue et à son avantage…

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F1 – Hamilton changera d'agent

Lewis Hamilton pourrait changer d’agent dans les semaines avenir. Dans une interview du champion du monde 2008, accordé à Autosport, Hamilton sous entend un changement d’agent à l’avenir.

Actuellement manager par son père, Anthony, Lewis Hamilton n’a pas vraiment d’agent à proprement parler. En 2007, lors de la négociation de son contrat actuelle avec l’équipe McLaren, le père du champion du monde 2008 a été assisté par Steve Robertson (l’agent de Kimi Raikkonen).

« Je veux un manager qui se préoccupe de certaines questions et je voudrais donc avoir un père avec qui je peux discuter de différentes choses. » précise Hamilton dans Autosport.

Dernièrement, Julian Jakobi (l’agent de Prost, Senna et Montoya) a été consulté par Lewis Hamilton pour différente affaire autour d’un contrat de consultant. De son coté Anthony Hamilton est actif  en temps que consultant dans la société de management 2MB Sport Management, crée par le pilote anglais Mark Blundell en 2005 (voir : 2MB lance 2MB International Soccer Management).

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F1 – Anthony Hamilton lance une Académie

Anthony Hamilton envisage de faire rouler des Formule 1 de l’année 2009 afin de permettre à des jeunes pilotes de réaliser des kilomètre, sans subir les contraintes des restrictions d’essais imposés par la FIA.

Nos amis d’Autosport.com révèle que le père de Lewis Hamilton a signé un accord avec l’équipe McLaren (mais aussi d’autres équipes) pour disposer, durant une année, des MP4-24, du matériel, et du personnel dans un programme baptisé : Grand Prix Drivers Academy Prep.

Aucun coût n’a été précisé. Mais nous savons qu’une journée d’essais représente environ 300.000 euros. Le programme devrait être lancé en Mars. Mais ressemble beaucoup au projet de Stefan GP.

Fin Décembre 2009, l’équipe serbe avait annoncé son intention d’établir un programme de test avec des jeunes pilotes, dans le même schéma que le projet Hamilton. (Voir : Le business model de Stefan GP en 2010).

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F1 – Management : Robertson et Hamilton anticipe l'avenir

Dans le management de pilote, la norme a toujours été simple : un agent ne peut gérer que deux pilotes en même temps. Encore qu’il y ait un décalage générationnelle ou de stade de carrière. Sur ce principe, Steve et David Robertson et Anthony Hamilton ont établit leurs stratégies.

Le second, père du champion du monde 2008, a toujours souhaité avoir un second pilote aux cotés de sa progéniture. Depuis 2007, il arpentait les stands du GP2 dans l’espoir de découvrir une perle rare.  Associé avec le Team McLaren, dans son programme Junior McLaren, Hamilton s’occupera d’un jeune garçon de 14 ans, hollandais, du nom de Nyck de Vries (champion d’Allemagne de Karting). Le contrat avec l’équipe de Woking est basé sur un financement de carrière (comme pour Hamilton), sur une base de 10 ans (5 ans + 5 ans), tandis que l’accord de management avec la structure d’Anthony Hamilton est basé sur un contrat de 5 ans (3 ans + 2 ans).

De leur coté, Steve et David Robertson ont misé sur un jeune brésilien pour « refaire » un coup en Formule 1 dans un proche avenir. Felipe Nasr, 17 ans, a signé un accord de gestion avec le duo (10 ans) et pilotera pour l’équipe F3 de l’équipe RR (Raikkonen-Robertson) en Angleterre. L’idée ici est de reproduire d’ici 2012 maximums, le schéma d’arrivée en Formule 1 de Jenson Button et Kimi Raikkonen. Tout dépendra des performances du jeune brésilien cette année.

Si De Vries n’est pas programmé en Formule 1 avant 2015, Nasr est envisageable dès 2011.

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