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Note du Mardi – Le changement de modèle de McLaren

notedumardi-900x6757165869066367047722.jpgLors d’une interview entre Zak Brown et Roger Penske pour les médias de McLaren, les deux hommes ont échangé sur la structuration de leur société respective. Brown indiquant que le groupe Penske était une inspiration pour le Groupe McLaren à l’avenir.

Sportivement Penske Racing est la seule organisation au monde à avoir réussi à s’imposer en Formule 1, en Indycar et en Nascar. Cumulant plus de 580 victoires en courses, plus de 650 pole positions et 40 championnats tout au long de ses 55 ans d’histoire. En plus de ses 18 victoires en Indy 500, il y a deux victoires en Nascar sur le Daytona 500, des victoires au 24h de Daytona, 12h de Sebring. Bref la liste est interminable. Une exception : les 24h du Mans.

Toutefois, au-delà de l’activité sportive, Penske Corporation est un groupe d’un chiffre d’affaires de 32 milliards de dollars, employant plus de 60.000 personnes. Ayant des activités allant de la distribution automobile (Ford, Toyota, GM), des Camions, sous-traitant pour les constructeurs automobile, rachat de l’Indycar et du circuit d’Indianapolis, mais également du circuit de Fontana. Penske était aussi un actionnaire d’Illmor Engineering (25%), Détroit Diesel (vendu à Daimler en 2000), VM Motori (vendu à FIAT en 2013). L’activité américaine d’Ilmor est toujours sous son contrôle aujourd’hui.

Ron Dennis et le modèle Ferrari

Lorsque Ron Dennis reprend l’équipe McLaren, le rêve de devenir l’équivalent d’Enzo Ferrari en Angleterre a toujours habité le manager anglais. Mansour Ojjeh, tristement disparu le week-end dernier, lui en a donné les moyens dans les années 80 et 90. Dennis souhaitait devenir un constructeur de voiture de sport (la McLaren F1 de 1994 a été la première pierre avant la MP4-12C de 2011). La doctrine Dennis était tournée autour de trois piliers, mais dans l’aspiration de ce qui était réalisé du côté de Maranello.

Reste l’histoire de McLaren dans les années 60 et 70. Les victoires en CanAm, la Formule 1, les monoplaces en Indy 500, la division américaine de conception moteur. Un héritage que souhaite développer Zak Brown.

McLaren va s’inspirer de Penske progressivement

Cette interview des deux hommes montre le changement de stratégie de McLaren. Tournant définitivement la page Ron Dennis. Le modèle de McLaren sera désormais Penske. A la fois en Formule 1, en Indycar et bientôt en Hypercars et en Formule E pour la partie Racing, puis autour de l’automobile . Le groupe McLaren développe également ses filiales Marketing, qui a augmenté son personnel de 58 à 74 personnes entre 2019 et 2020 et Applied qui se développe activement depuis quelques années.

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Note du Mardi – McLaren et la culture d’entreprise

Note du mardiLa récente révolution de palais à Woking a une raison expliquée : La culture de l’entreprise. McLaren depuis 1980 a développé une culture d’entreprise axé autour de trois piliers. Un pilier technique, un pilier pilote et un pilier de diversification.

La récente démission d’Eric Boullier met ainsi fin à une organisation interne qui était utilisé depuis près de 40 ans. Un nouveau trio décisionnaire, est mis en place. Zak Brown prendra du galon, Gil de Ferran  et Andrea Stella complétant le trium vira. Un management qui ressemble à celle de bien d’autres équipes du paddock et qui fait rentrer dans le rang McLaren comme étant l’une des rares équipes a encore avoir un principe.

Pilier Technique

Depuis 1981 et l’introduction du châssis carbone sous la direction technique de John Barnard, Ron Dennis a toujours cherché de reproduire la même histoire. Barnard partie, c’est l’embauche de Gordon Murray, qui permettra ensuite de construire l’image de McLaren. Barnard et Murray ont ainsi posé les bases qui seront toujours utilisés. L’usine de Woking a toujours souffert d’un complexe : celle qui ne distingue pas le concours des pilotes et de la machine aux exploits. Lorsqu’Ayrton Senna a quitté l’équipe fin 1993, le réflexe de Ron Dennis a été de déterminer que son équipe savait faire de bon châssis et n’avait pas besoin d’un super pilote. Peine perdue et l’embauche d’Adrian Newey a été le remake de celui de Gordon Murray, avec 10 ans d’écart. L’épisode Jaguar/Newey de 2001 a bouleversé les schémas du passé. Ron Dennis s’étant rendu compte que personne n’était indispensable, un nouveau processus a été mis en place. S’inspirant de Renault F1 Team, une équipe de développement doublée a été mis en place suite au départ de Newey en 2006. Culturellement, le message de  McLaren était qu’il produisait les meilleurs châssis du paddock. La piste nous démontre que ce n’est pas le cas. En réalité, l’équipe technique avait besoin d’avoir l’image du super pilote pour produire une monoplace dominatrice. Car c’est aussi cela l’un des aspects de la doctrine McLaren : Concevoir une monoplace qui domine et non qui simplement gagne des courses.

Lorsque le passage au turbo a été effectif, Ron Dennis s’est inspiré de ce qu’il avait vécu en 1966 chez Brabham. A l’époque, Jack Brabham avait été voir un préparateur moteur australien et lui a proposé de concevoir un moteur 3L V8. Le V8 REPCO a ainsi fait la gloire de l’équipe en 1966 et 1967, avant de céder sa place au V8 Cosworth, alors le meilleur moteur du plateau disponible, en 1969. L’histoire avec le moteur V6 Turbo TAG Porsche est similaire. Dominateur en 1984 et 1985, il est rentré dans le rang en 1986 et Ron Dennis a tenté d’avoir dès 1987 le moteur dominateur du moment : le Honda. Il attendra une année. Puis lorsque Honda a décidé de quitter son aventure en 1992, Dennis a tenté d’avoir le V10 Renault et a finalement signé avec son concurrent présumé : Peugeot, avant d’obtenir le concours de Mercedes.

Lorsque Honda a signé avec McLaren à la fin des années 80, c’était la première fois qu’un constructeur signait pour 5 ans et participait aux finances du salaire des pilotes. Un procédé que Dennis a reproduit avec Mercedes et ensuite Honda jusqu’en 2017.

Pilier Pilote

Le retour de Niki Lauda et la signature surprise d’Alain Prost resteront les deux éléments de la base de la culture McLaren. La signature de Keke Rosberg en 1986 était dans la même lignée que celle de Lauda, ainsi que celle de Mansell en 1995. Sans oublié les deux tentatives autour d’Alain Prost en 1994 et 1996, Jacques Villeneuve en 2002 et celle du retour de Mika Hakkinen en 2003 et le retour de Fernando Alonso en 2015. A l’opposé, la signature d’Alain Prost a été surprise et limite tardive. Comme l’a été celle d’Ayrton Senna et Kimi Raikkonen et Lewis Hamilton et Jenson Button.

En 1994, alors qu’il disputait son premier Grand Prix, David Coulthard c’est retrouvé avec un contrat McLaren pour 1996 de trois saisons. Cet épisode va ensuite se reproduire avec Juan Pablo Montoya et Fernando Alonso.

Pilier de la diversification

Depuis le milieu des années 80, l’idée qu’avec la mondialisation de la Formule 1, une équipe ne pouvait plus simplement être une équipe de Formule 1, mais un groupe pour survivre a été profondément ancré dans les cerveaux de Woking. La diversification automobile entamé début des années 90, électronique milieu des années 80, l’usine Paragon (2003) ont été les projets qui ont permis de faire évoluer McLaren d’un team à succès à celui d’une entreprise à succès.

L’autre aspect de la diversification concerne l’actionnariat de McLaren. Dès 1982, Mansour Ojjeh en prenant 60% du capital a imposé une nouvelle ère, puis Mercedes a renforcé l’aspect diversification et enfin la Mumtalakat Holding, après une période silencieuse a approuvée le projet de Zak Brown concernant la diversification en IndyCar et 24h du Mans. La récente introduction de Michael Latifi offre une nouvelle perspective allant dans ce sens là.

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McLaren : le projet avorté qui pourrait renaître de ses cendres

Mclaren LogoSeptembre 2007, Ron Dennis, la main gauche sur sa hanche, fixe Max Mosley devant son motor home pour une poignée de main de la honte. Le Spygate se concluait avec une amende de 50 millions de dollars, qui sera payée intégralement par Mercedes-Benz à l’époque. Le déficit d’image était telle que le titre de Lewis Hamilton l’année suivante, n’avait pas suffi à effacer l’humiliation. A Woking, sentant le vent tourner, une nouvelle stratégie c’est mise en place et sera l’objet d’une guerre qui aboutie aujourd’hui au retrait de Ron Dennis.

Lorsque l’établissement financier Bahrain Mumtalakat Holding Company entre à hauteur de 30% dans le capital de McLaren, l’anticipation du retrait de Mercedes-Benz perçait dans l’obscurité. Le constructeur allemand disposait de 40% et sa valeur estimée autour de 500 millions d’euros. Conclure avec un solide établissement financier était la seule solution. Bahrein avait accepté des actions vraisemblablement sans droits de votes, pour limiter le coût financier afin de préparer la partie suivante du scénario.  En 2010, Bahrein va prêter 125 millions à Mansour Ojjeh et Ron Dennis et acheter chacun 10% de capital supplémentaire, pour monter à 25%. McLaren à cette époque avait une valeur de 1,2 milliards d’euros.

L’argent prenant le pas sur l’aspect sportif, McLaren sous la direction de Martin Whitmarsh va doucement dériver, tandis que Ron Dennis, exclu pendant 5 ans des paddocks va construire McLaren Automotive et permettre une diversification heureuse du groupe TAG McLaren.

En coulisse deux plans se construisent. La répartition du capital est de 50% pour Mumtalakat , TAG et Ron Dennis héritant de 25% chacun. Mais en matière de droits de votes (donc de décision exécutive dans l’entreprise), c’est Ron Dennis qui dispose de 58% devant Mansour Ojjeh 28% et l’établissement de Bahrein avec 14%. Un jeu de dupe va se mettre en place.

Le premier projet inspiré par Mansour Ojjeh et Martin Whitmarsh s’inspire de l’avenir. L’ambition secrète était une introduction en bourse sur le modèle Williams. A l’époque on estimait McLaren à 2 milliards d’euros, ce qui permettait à TAG de rembourser l’emprunt auprès de Mumtalakat et d’augmenter la valeur de sa participation. L’introduction en bourse était d’autant plus tentant que les actionnaires entre McLaren Group Ltd et McLaren Automotive Ltd sont quasiment les mêmes, donc les possibilités sont importantes.

En coulisse, Whitmarsh tente de séduire dès 2011 le constructeur Honda pour un retour à l’horizon 2014. Toutefois, l’anglais va échouer dans sa tentative de prolonger Lewis Hamilton courant 2012. Idem concernant le sponsoring, la tentative d’un sponsoring avec le fond souverain de Libye contre 25 millions d’euros la première année et 40 millions, s’inspirait fortement du programme Williams/Baugur Group, et elle était la suite logique de l’évolution du groupe pour garantir son avenir. Était donc.

Cette idée n’aboutira jamais. Alors que Whitmarsh négociait avec Honda un moteur et une participation au budget de McLaren, Ron Dennis étudiait l’idée de construire son propre moteur 4cyl 1,6L turbo (projet initial de l’unité moteur d’aujourd’hui) à l’horizon 2013. Ses démarches allant jusqu’à trouver un partenaire équivalent à celui de TAG à l’époque du programme Porsche des années 80. Bahrain Mumtalakat Holding Company était la compagnie toute trouvée. Ce sera le début de la rupture et le début de la fin pour Ron Dennis, qui amorçait son retour aux affaires fin 2013, grâce à un pacte d’actionnaires dont il n’a pas respecté l’échéance.

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McLaren MP4-12C : 201.000 euros en France

McLaren MP4-12C - 201.000 euros en FranceMcLaren Automotive a communiqué les prix de sa MP4-12C : 201.000 euros (en France). Elle fera ses débuts au printemps 2011. Propulsée par un V8 bi-turbo 3,8L de 600cv, développé en interne par McLaren, la voiture revendique une vitesse maximale de 322km/h et moins de 3 sec pour le 0 à 100km/h.

Mais l’innovation de cette voiture repose principalement sur sa structure carbone, comme l’indique Antony Sherrif, directeur général de McLaren Automotive, lors de la conférence de presse cette semaine à Woking : « Avec un châssis en carbone et un moteur McLaren, puissant et efficace, la valeur de l’offre de la 12C est stupéfiante. Aucune autre voiture à base de carbone peuvent être à ce prix là ou avec les mêmes technologies et performances que la 12C. »

Il est vrai que McLaren Automotive a fortement investit dans la technologie carbone pour cette voiture. En Juin dernier, la société de Ron Dennis avait annoncé avoir signé le plus gros contrat de fourniture de structure carbone de l’histoire de l’industrie automobile. Pour sa voiture, un contrat de 150 millions d’euros a été signé avec la société allemande CarboTech. 100 emploies ont été crées et une nouvelle usine de 7.500m2 spécialement construite pour fournir la supercar anglaise. La monocoque de cette voiture pèse moins de 80kg. Un record.

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McLaren Cars travaillerait sur un KERS

-mclarenp112McLaren Cars souhaiterait introduirait un système de récupération d’énergie cinétique, similaire au KERS utilisé en Formule 1 (système qui sera de retour en 2011 sur les grilles de départ). La société de Woking de confirme par la rumeur, mais elle recherche des spécialistes dans le domaine de la technologie hybride.

Ferrari a lancé le développement d’un KERS pour ses voitures de route il y a quelques mois, il n’est pas impossible que la nouvelle société de Ron Dennis, voulant se positionner comme un concurrent majeur de la marque italienne, s’investisse dans cette technologie.

Après la technologie du volant Williams, qu’évalue activement Porsche, les voitures de sport, à l’avenir, disposeront d’une technologie hybride inspirée de la course. Une approche qui permettra à l’équipe McLaren de mieux comprendre et de faire évoluer à terme le KERS Mercedes-Benz qu’elle disposera à partir de l’an prochain. Avec, pourquoi pas, un KERS 100% McLaren d’ici quelques années…

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Business – McLaren confirme son investissement

Pour la première fois depuis 2005, le Groupe McLaren va souscrire un prêt bancaire de 50 millions d’euros auprès de la banque HSBC, un prêt devant servir à deux choses.

Le prêt est garanti sur les biens de McLaren (terrains, usines, bâtiments etc…) et est destiné en priorité au financement de l’usine de Woking de supercar de McLaren Automotive. En effet, en Mars dernier, Ron Dennis avait annoncé un investissement de 50 millions d’euros et créer 300 emplois dans sa nouvelle usine. En accord avec le Gouvernement de Gordon Brown. (voir : McLaren Automotive a investi 50M€ dans sa MP4-12C).

Mais l’autre partie du prêt va permettre d’acheter les 11% que Daimler dispose encore dans le capital du Groupe. Un porte parole de la marque affirme au journal The Independent : « le prêt HSBC en plus de permettre un renforcement de nos installations va nous aider à racheter les toutes dernières actions Daimler à la fin 2011. »

Les 11% que possède le groupe allemand Daimler ont une valeur de 55 millions d’euros.

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McLaren dans la tourmente et une rumeur

Ron Dennis-FIAIl y a comme un malaise dans l’équipe McLaren. Après la lecture des déclarations des pilotes, Jenson Button et Lewis Hamilton depuis quelques temps maintenant. La MP4-25 a besoin de plus de vitesse, mais Ron Dennis tente de mettre les points sur les « i » Une sortie médiatique intéressante à plus d’un titre.

Le patron de McLaren Automotive est toujours président du Groupe  McLaren, l’anglais estime que les pilotes de son équipe ne produisent pas un bon exemple dans les médias en dénigrant les performances de la voiture : « Je trouve cela un peu exaspérant, et j’ai exprimé mon avis. (…) je leur ai dis qu’ils avaient gagnés 4 courses, deux chacun et qu’ils étaient en tête du championnat. » lance Dennis au The Guardian.

La véritable raison du manque de performance de McLaren tien dans son aspect de conception selon Dennis. La MP4-25 a été pensée comme une machine efficace pour la course, et non en qualification. La monoplace n’use que modérément les pneus, afin d’être efficace durant un GP. « Nous n’avons pas une voiture pour les qualifications. Mais nous avons une très bonne voiture de course. » estime Dennis.

Reste que McLaren, après avoir eu de l’avance, est désormais en retard. Lors du Grand Prix d’Allemagne, Lewis Hamilton souhaitait revenir à l’ancien diffuseur après la première journée d’essais libre du vendredi (comme il l’avait fait pour le GP d’Angleterre). Pour se plier devant les décisions de l’intérêt de l’équipe et des ingénieurs.

S’ajoutant à cela ses hésitations sur les ailerons flexibles. Sa stratégie d’attention envers la FIA a été un échec et une perte de temps. Ferrari a été plus rapide dans sa réaction et se pose moins de questions dans l’évolution de sa F10. Woking a finalement annoncé du bout des lèvres étudier un tel concept, « sans vraiment savoir comment cela fonctionne », avoue cependant  Jenson Button.

La sortie de Ron Dennis, après les rumeurs de discussions houleuses avec Martin Whitmarsh récemment, font courir le bruit d’un possible retour aux affaires. Dennis est un créateur, un visionnaire qui est en mouvement permanent, tandis que Whitmarsh, est un gestionnaire rigoureux. Depuis plusieurs mois, Dennis se consacre à McLaren Automotive, est à déjà planifié la future gamme, donné des objectifs, signé des accords techniques et fait construire une usine pour ses voitures. La Formule 1 n’est pas faite pour un gestionnaire, alors pourra t’on s’attendre à un échange des rôles d’ici quelques mois ?

Whitmarsh chez McLaren Automotive et Ron Dennis de retour aux affaires à la tête du Team McLaren ?

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McLaren MP4-12C 2+2 et spider ?

-mclarenp112

McLaren Cars souhaite introduire de nouvelles variantes sur la MP4-12C dans sa gamme. La super car britannique pourrait devenir une 2+2 et même un spider. La marque vise plus de 70 points de vente à terme dans le monde et compte écouler plus de 3.500 exemplaires.

Pour le moment, rien n’est encore décidé, mais le projet est actuellement en cours d’évaluation. Une version 2+2 est toutefois étonnante et allongerait de 25cm la coque de la MP4-12C, la plaçant comme une concurrente plus ou moins direct de l’Aston Martin DB9, à moteur centrale arrière.

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F1 – La nouvelle répartition du capital de McLaren

Hier, Martin Whitmarsh indiquait à l’agence Reuters que McLaren Group avait déjà acheté 29% des actions que le constructeur allemand, Mercedes-Benz, détenait depuis 2000. Le patron de l’équipe de Woking précise que cette reprise n’est pas du fait d’un seul actionnaire, mais de tout le groupe.

Depuis 2007, le capital de McLaren est répartie de cette manière : 40% Mercedes-Benz 30% Mumtalakat Compagny-  15% Mansour Ojjeh – 15% Ron Dennis. Mais ce qui se savait moins était les droits de votes (les décisions), étaient en faveur du duo Ojjeh – Dennis avec 60% des droits. La vente à l’établissement bancaire de Bahreïn n’étant pas accompagner de cette particularité.

(Mise à jour), le 15 Décembre 2009, McLaren Group a entrepris le rachat des actions de Mercedes-Benz. Actuellement, la répartition est la suivante : 29% McLaren Group 30% Mumtalakat Compagny – 15%Mansour Ojjeh – 15%Ron Dennis et 11% Mercedes-Benz.  L’opération a déjà coûté 145 millions d’euros.

D’ici 2011, la répartition du capital sera la suivante : 40% McLaren Group, 30% Mumtalakat Compagny, 15% Ron Dennis et 15% Mansour Ojjeh.

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F1 – McLaren : Mercedes ne possède plus que 11% du capital

-mclarenp112McLaren Group a racheté 29% de son capital, sur les 40% que détenait Daimler Group depuis 2000.

Dans une annonce à l’agence Reuters, Martin Whitmarsh a déclaré : « Je pense que seulement 11% du capital est toujours détenu par Mercedes, mais ce n’est pas un nombre important et significatif ». Lors de l’accord de séparation à l’Automne dernier, McLaren devait racheter au constructeur allemand, ses 40% d’ici 2011.

Whitmarsh précise que c’est les trois actionnaires de McLaren Group qui reprennent la participation de Daimler à savoir, Ron Dennis, Mansour Ojjeh et la banque Mumtalakat Compagny.

Aujourd’hui 145 millions d’euros ont été dépensé par le groupe McLaren pour racheter la participation du constructeur allemand.

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