L’affaire d’Abu Dhabi a visiblement profondément perturbé l’hiver de la Scuderia Ferrari, surtout du coté du management. Dans un entretien pour le compte du quotidien La Republica, Stefano Domenicali indique qu’il voulait partir après Abu Dhabi :
« Après Abu Dhabi, j’ai pensé à démissionner, mais je reste parce que je crois que je suis mieux à même de capitaliser sur le travail de ses derniers mois. Je ne suis pas attacher à mon siège. Mais je suis venu à la conclusion que démissionner serait une erreur. »
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Ben il aurait mieux fait … Dès le 1er titre de Kimi il aurait dû se barrer …
Parce que des bourdes il en enchaine un sacré paquet quand même !
Domenicali a pris les rênes de l’équipe de GP en 2008, Jean Todt était le patron en 2007 lors du titre de Kimi….des bourdes il y en a eu par la suite, mais est-ce Domenicali le problème majeur de la Scuderia actuellement ?
Todt avait mis du temps à ramener Ferrari dans un bon rythme de course (ok, il lisait et interprétait un peu mieux le règlement que ses rivaux), il avait su calmer « l’Armée Mexicaine » qu’était devenu le Cheval Cabré !
Depuis qu’il est parti j’ai l’impression que l’équipe se fait un « trip » retour vers le futur…dommage si ils continuent cela enlèverait un peu de piment !
Domenicali grand responsable, je ne crois pas….je préfère le voire faire une autre année, et si les « bourdes » s’accumulent, alors sa seule éviction ne changera sûrement pas grand chose !
analyse plus que pertinente de Marco.
franchement Domenicali ne s’en sort pas si mal dans la transition du management.
je m’attendais a pire tant la politique de palais est un invariant de la scuderia que Todt réussi a mettre un temps entre parenthèse tant l’écurie allait a sa perte.
même les dernière années de Todt ne déjà furent pas exempte de ces retours aux vieux démons.
Les plus jeunes ne se souviennent peut-être pas que durant la relative traversée du désert de la scuderia avant l’arrivée de Todt, une multitude d’hommes assez remarquable se sont cassé les dents dans une structure devenu ingérable et fondamentalement contreproductive malgré ses ressources exceptionnelles.
avoir un poste a responsabilité chez Ferrari est une des taches les plus délicate de la F1.
Domenicali s’en sort avec pour moi les honneurs.
Finalement c’est Chris Dyer qui sert de bouc-émissaire