L’art de déstabiliser son adversaire en politique est de savoir utilisé des petites phrase qui une fois sortie de leur contexte peuvent provoquer une rumeur et freiner l’adversaire visé directement ou indirectement. Max Mosley en fait la démonstration lors d’un déjeuné avec des journalistes à Londres ce mercredi.
Le président de la FIA a raconté que » si j’étais Hamilton, je serais heureux d’être avec McLaren et aussi de pouvoir passer à l’avenir chez Ferrari ». Même si il y a eu des précisions sur cette petite phrase, celle ci n’est pas anodine, loin de là.
Max Mosley en plein duel avec la FOTA répond à Ron Dennis, un de ses ennemies intimes depuis de longues années. Le président de McLaren Group est le nouveau porte parole de la FOTA et n’hésite pas à dézinguer les propositions de la FIA dès que l’occasion de se présente.
Décidément Max Mosley a sortie toute l’artillerie politicienne et communicante pour arriver à ses fins contre la FOTA.
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