Le Prestige de Fernando Alonso

Malgré une année en demi teinte, Fernando Alonso bénéfice d’une image encore forte de vainqueur de Grand Prix. Toutefois dans son pays le jugement est sans pitié :

« Comme les vins qui tourne, ou que les gens passe à travers une crise et ne s’en relève jamais, Alonso perde et doit perdre de la valeur. Il est vrai que la saison 2008 ressemble a une procession d’un prisonnier qui purge sa peine, mais sa réputation n’a pas été encore dévaluer. Malgré l’échec d’une équipe dont la réduction drastique de budget cale depuis 2 ans et se ridiculise à chaque course. » Du MARCA dans le texte.

Certes la valeur de Fernando Alonso n’a rien perdue, et en cela il peut remercier McLaren l’année dernière. Mais si l’année 2009 ressemble à une saison 2008 bis ou alors juste légèrement meilleur et sans grands résultats… L’image du pilote accusera une sérieuse perte. Déjà sur des forums espagnols, les choix de Alonso sont critiqués, le retour chez Renault une erreur et un piège que le double champion du monde c’est lui-même tendu.

Au final beaucoup de critique sur Raikkonen, mais Alonso n’est guère mieux lotis. Reste à savoir si ces mêmes critiques sont justifiées, ou alors juste un acte gratuit.

La signification du titre provient de l’une des trois étapes (inventées dans le roman Le Prestige) que comporte un tour de magie, comme cela est expliqué dans le livre. La première étape se nomme la «promesse», où le magicien montre au public quelque chose qui semble ordinaire, mais ne l’est pas. La seconde étape consiste en l’exécution, le «tour», ou le magicien rend l’acte ordinaire extraordinaire. Le «prestige», titre du film et étape finale de l’illusion, est la partie du tour de magie où l’imprévu se produit…

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