La vérité sur la rumeur entre Alonso et Renault

La rumeur a été grande, surtout à la télévision française et reliée par tout les médias du monde entier. Fernando Alonso pourrait rester chez Renault l’année prochaine, car l’équipe Renault racheterait le contrat que le champion du monde 2005 avait signé en novembre dernier.
Immédiatement Mclaren et Renault ont démenti. Coté Mclaren ont annonce que Alonso sera bien présent dans la voiture l’année prochaine, alors que coté Renault on reste vague, mais tout cela n’est que pur spéculation de journaliste. Car l’idée d’un rachat de contrat serait extrêmement coûteuse.

Décembre 2005, Mclaren annonce que Fernando Alonso a signé un contrat de 4 ans a partir de 2007. Ce contrat est estimé à $120m sur la durée. Ce qui signifie que si Renault souhaite racheter le contrat de son champion, elle lui faudra débourser minimum $60m à Mclaren !

Reste à comprendre pourquoi Renault n’a pas réagi plus que cela à cette annonce. Souvenez vous de l’affaire Montoya. Cette histoire a fait beaucoup parler mais elle a été déformée. En faite Mclaren a mis à pied le pilote colombien pour des raisons qui ne sont pas celle évoquées par la rumeur. En effet celle-ci racontait que Monty avait été viré car il a eu une collision lors du grand prix des USA avec son équipier Raikkonen, provoquant un carambolage important. Au retour les deux hommes ont eu, soit disant, des mots. La goûte d’eau. Mais on parle aussi du fait que Montoya a annoncé trop tôt qu’il partirait en NASCAR, curieuse remarque, car Ron Dennis avec l’affaire Alonso reste mal placé pour dire quand une annonce est bonne à faire…
Non en faite, Juan Pablo Montoya n’a jamais été accepté chez Mclaren et Ron Dennis après l’avoir voulu comme l’égal de Senna, l’a rejeté. Montoya a été mis à pied simplement parce qu’il ne souhaitait plus participer aux développements de la voiture et qu’il ne s’amuse plus en F1.

Maintenant du coté de chez Renault, cette histoire de rumeur ne peut que faire du bien, surtout dans son opération séduction envers Kimi Raikkonen, car en accentuant les défauts de l’énnemis on renforce ces avantages. C’est-à-dire que si l’on dit que Mclaren traite mal ces pilotes, tout le monde va le croire, car Renault par exemple traite parfaitement Alonso cette année, pourtant il part à la concurrence l’année prochaine.

La communication par la déstabilisation made in Flavio ?

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