Spa puis Hockneim son en difficulté pour l’avenir. Le promoteur du circuit belge, sous les dettes a mis la société qu’il dirigeait et qui gérait le Grand Prix de Belgique en banqueroute financière. Tandis que le circuit qui accueil le Grand Prix d’Allemagne, après avoir réalisé des efforts financiers de 61M€ pour rénové le circuit en 2002, n’arrive pas à gagné de l’argent.
L’avenir des circuits européen est mal en point.
Depuis presque 10 ans, le Grand Prix de France avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’état déplorable de ces finances. Mais ces voisins s’en moquaient car la France a toujours été un Etat qui a un rapport avec l’automobile qui reste contradictoire.
Pourtant la FFSA qui gère maintenant le Grand Prix de France doit déboursé 12M$ par an pour avoir droit à la course. Alors que ces rentrés d’argent sont de 10M$, un casse tête.
Mais quelles sont les revenues des promoteurs des circuits ?
Simplement réduit à la billetterie, car tout le reste revient directement ou indirectement à l’argentier de la F1, Bernie Ecclestone.
Les sponsors vus au abord du circuit, ne revienne pas aux circuits qui les affichent tout comme une partie des revenues télévision.
Ce système qui n’avait pas été contesté jusqu’à présent revient inabordable pour certain circuit, pourtant historique à la F1, comme les Grand Prix de France, d’Allemagne, de Belgique et d’Angleterre.
De plus l’arriver de nouveau circuit exotique à contribuer a augmenté les revenues de ces historiques, car la Malaisie, Barhain, la Chine et la Turquie donne des sommes folles et n’accueil qu’une voir trois courses par an. Et l’effort financier est géré par les Etats.
Pourtant certains promoteurs de circuit bénéficient de tarif avantageux. Comme l’Australie, qui paye autant que la France sont tarif annuel mais qui touche une partie des sponsors sur le circuit a hauteur de 30% ce qui permet d’obtenir près de 5M$.
Dans le même esprit, le GP d’Espagne ne donne presque deux fois moins que les historiques pourtant cette course depuis l’explosion d’Alonso, champion du monde 2005 offre un chiffre d’affaire de 50M$ par an.
Dans le même esprit, suite à la course catastrophique d’Indianapolis, le promoteur a réussi a obtenir une réduction pour moitié de son tarif pour passé de 12,5 à 6M$ pour 2006 et 2007.
Le GP de Monaco, en raison de son prestige ne donne rien, mais gagne 90M$/an avec cette course. Et le GP d’Italie, avec son caractère historique ne débourse que 3M$ par an, merci à la contribution de Monsieur Ferrari qui a fait garantir un contrat de près de 30 ans a Monza pour un tarif d’amis qui augmente de 1M$ tout les 5 ans.
Dans un esprit différent, remarquons que le GP du Canada a réussit un tour de force en garantissant 22M$ a Bernie Ecclestone pour le non affichage du Tabac sur les voitures en plus des 10M$ annuels.
Il y a quelques années les circuits historiques bénéficiait d’une certaine immunité tarifaire mais depuis l’affaire Silverstone en 2001, tout est déréglé.
Cette affaire a permis à Ecclestone de faire payer un circuit historique plus chère qu’avant.
A l’époque il y avait une société anglaise de management qui avait acheter a fond perdu le circuit de Brand Hatch pour le rénové, mais pour des raisons écologique, elle n’a pu disposé du GP, pourtant la présidente de la société avait négocié l’organisation du GP a partir de 2003. Résultat, la société de management a fait faillite et elle est obligée de louer le circuit de Silverstone pendant 5 ans. Suite a cette affaire tout les tarifs européen on été multiplier par 2 ou 3.
L’Angleterre donnait tout les ans 4M$ alors que maintenant c’est le double et la France en donnait 6M$….