« Honda n’a pas cherché et ne cherche toujours pas de sponsor » a déclaré Bernie Ecclestone, décidément très communicatif cette semaine. L’argentier de la F1 fustige le constructeur nippon.
Il est vrai que Honda, à l’heure ou j’écris ses lignes, négocie un plan B avec Nick Fry, et que ce plan B ressemble plus à une alternative de dépits qu’à un sauvetage par une tiers personne. Ecclestone a raison de dire que l’équipe est finalement très artificielle; car ni Nick Fry, ni même Ross Brawn n’ont exprimés une envie de séduire un sponsor. L’objectif aveugle de trouver un milliardaire capable d’illusion à court terme représente la seule alternative. Mais dans ses temps de restriction, hormis les princes d’Abu Dhabi dans le football (et le PSG sait de quoi je parle, tout comme KAKA, le joueur du Milan AC), rien à l’horizon.
Par le passé l’équipe marketing, toujours en place, chez Honda, a brillé par son incompétence à séduire des partenaires. Elle a certes défrichée le terrain pour d’autre (le cas RBS, Lenovo et Emirate), mais n’a rien récoltée. Une situation qui inquiète plus que le fait de trouver un repreneur à terme : Si l’équipe n’est pas capable de séduire des partenaires, elle n’est pas viable.
Mais ce fameux plan B, dont je vous toucherais deux mots bientôt, ressemble plus à un Midland Bis qu’à un processus d’Indépendance identifier. A suivre donc…
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