Lotus Racing a finalement confirmé son accord avec Renault Sport pour la fourniture de bloc V8 en 2011. Après avoir établi un partenariat avec Red Bull Technology pour l’utilisation des boites de vitesses, les connexions techniques se renforcent autour du moteur français.
L’annonce démontre aussi un signe clair de l’ambition de l’équipe Lotus d’évoluer dans la grille de départ à partir de l’an prochain.
Un accord client d’une année
Lorsque les deux parties ont discuté d’une association depuis le début de l’été 2010, il était entendu que l’accord soit complet. A savoir : Moteur, Boite de Vitesse et KERS. Pour un volant d’ensemble de 12 millions d’euros annuel pour 2011 et 2012. Toutefois, Lotus Racing a signé son accord avec Red Bull Racing pour disposer d’une boite de vitesses, plus adapté à la conception de la prochain T128.
Le contrat, signé en Corée du Sud, ne comprend que la fourniture moteur (KERS à la demande) pour une année (2011) avec une option pour 2012) pour un tarif simple de 8 millions d’euros annuel et un statu de client simple pour le moment.
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Dans sa version papier, AutoHebdo annonce que le conflit Lotus Group – Lotus Racing a trouvé une solution.
A t’on confirmation?
Cela dit, je n’imagine pas autre chose car les déclarations des uns et des autres contrastent avec l’exploitation de la présence de Lotus en F1: alors que les communiqués de presse se multipliaient, notamment de la part de Lotus Group, pour dénoncer les « manquements répétés de Tony FERNANDEZ et l’atteinte au nom de Lotus », le même Lotus Group lançait en grande pompe son nouveau (et coûteux – 20 £) magazine « Lotus ». Oh surprise, dans ce volumineux magazine, on trouve une dizaine de pages sur l’aventure F1 de la Lotus T127, une interview de Tony FERNANDEZ et l’on applaudi le 500ème GP de la marque!!!! On est donc loin de l’idée de se différencier de Lotus Racing… et de leur reprocher quoi que ce soit!!! Drôle de politique de communication et drôle de position de la part de Lotus Group.
Pas de confirmation de mon coté, je sais juste que ce sera un accord amiable et tout le monde sera content.
Fernandes a eu des arguments intéressants à mettre en avant (Le principe d’utilisation du terme AirAsia par exemple qui serait négatif pour l’image de marque de la compagnie en cas de Crash par exemple).
Mais, comme tu l’a dis il y a quelques temps, l’impression de réaliser un grand coup de communication est favorisé. Une tempête dans un verre d’eau.