Le retournement de l’économie mondiale pèse lourdement sur les comptes annuels de Vodafone. Malgré une stratégie ambitieuse dans les pays émergents, l’opérateur ne dispose pas d’amortisseur de crise à brève échéance et doit poursuivre les réductions de coûts.
L’Espagne coûte cher à Vodafone. La chute des ventes dans ce pays a contraint l’opérateur de téléphonie mobile à y déprécier la valeur de ses activités, contribuant pour bonne part aux 5,9 milliards de livres sterling de charges constatées sur l’exercice, et expliquant la chute de 54% du profit net annuel du groupe.
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