Après le feuilleton du limogeage de Piquet Jr de Renault F1 Team, ou encore les faux départ de Fernando Alonso en 2009, voici que Romain Grosjean vient rouvrir une nouvelle page des transferts et rumeur autour du losange.

Le magazine Auto Motor Und Sport, curieusement non repris par d’autre média et site de Formule 1, au point de me faire penser à un fake énorme, prétend que le jeune français (qui est aussi suisse) aurait signé avec Renault en 2009 en remplacement de Piquet Jr. Une rumeur de plus, d’autant plus que le brésilien a récemment déclaré qu’il n’était sur de rien pour l’année prochaine sur son avenir. Reste que les informations sont contradictoires autour de Grosjean, au point de mettre en doute la rumeur.

Depuis le début de l’année, Carlos Ghosn a repris les reines de l’équipe F1 au détriment de Flavio Briatore. C’est le PDG qui influence la stratégie de son team et l’objectif de se racheter une image est dans l’ère du temps. Programmé pour être en Formule 1, Grosjean devait être le Lewis Hamilton du losange, le nouveau Alonso même, sauf que la machine c’est grippée.

Dans F1 à la Une lors du précédent GP de Hongrie, Jean Louis Moncet a avoué en direct devant 3,5 millions de personnes ce que le cercle savait déjà : Grosjean n’est pas en odeur chez Renault.

Même la TSR (Télévision Suisse Romande) s’en fait l’écho, déplorant le comportement négatif du pilote franco-suisse et surtout son entourage. En effet, il apparait que le jeune homme souffre du symptôme des espoirs français depuis près de 15 ans : une grosse tête.

La dernière rumeur est que le père de Romain Grosjean, lors des derniers essais privés de son fiston pour le compte de Renault, avait loué les services d’un garde de la sécurité, afin de surveillé que les ingénieurs et mécaniciens de l’équipe française ne trafiquent pas sa monoplace !

Pour l’histoire, Alain Prost lors de sa première saison chez McLaren en 1980, a été victime de sabotage volontaire lors de ses premiers essais, mais non pas pour détruire le pilote, mais pour voir s’il était bon et s’il ressentait les dérèglements volontaires, toutefois Alain Prost n’a pas été à deux doigts du procès contre l’équipe McLaren à l’époque pour avoir fait cela. C’est une tradition des équipes anglaise.