Espionnage Renault : La piste chinoise

renault_logo_technocentre1Le ministre de l’industrie, Eric Besson, avait déclaré que l’affaire était « sérieuse » hier sur l’antenne de RTL. Aujourd’hui, Renault va porter plainte et pourrait licencier les trois cadres, qui étaient basés au Technocentre,  soupçonnés dans l’affaire d’espionnage, au profit d’un commanditaire chinois. Une hypothèse également étudiée pour les services secrets français, selon Le Figaro, dans ses pages économiques.

La piste chinoise reste plausible, tant le gouvernement de l’Empire du Milieu prévoit d’investir jusqu’à 15 milliards de dollars en dix ans dans le domaine de la voiture électrique au profit des 16 constructeurs nationaux, participant à la mise en œuvre du projet, selon Le Figaro.

Le quotidien ajoute que la direction générale de Renault s’était montrée préoccupée : «  Les faits qu’ils ont cités, s’ils sont avérés, sont des faits sérieux et sont des faits graves. C’est toute la question de la protection de notre secret industriel et de notre innovation qu’il faut renforcer ».

L’enquête interne est toujours d’actualité. La direction juridique du constructeur n’a pas fait de commentaires pour l’instant, précisant juste que la procédure avançait.




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0 Responses to Espionnage Renault : La piste chinoise

  1. clemf1 dit :

    les chinois ne savent rien faire a part exploiter des pauvres gens a faire des imitations!!!

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