Lewis Hamilton serait le sportif anglais disposant d’un potentiel de marque estimé à 40 millions d’euros par an et commence à être comparé à David Beckham.

Max Clifford, le célèbre publicitaire qui a représenté et géré l’image de plusieurs sportif et milliardaire surtout celle de Mohamed Al Fayed de l’autre coté du charnel, estime que Lewis Hamilton est destiné à devenir aussi voir plus riche que David Beckham, la référence anglaise en matière de business sportif.

Actuellement le potentiel de marque de Lewis Hamilton est de 40 millions d’euros. C’est-à-dire le ratio entre la présence du pilote dans les médias, sa capacité à réunir sous son nom et enfin son image de champion. L’exemple de David Beckham est frappant car Beckham est une marque mondiale, qui a permis à la première league anglaise de conquérir le marché asiatique, permis à la marque Real Madrid de s’installée en Angleterre etc…l’estimation de l’impact de marque du footballeur anglais est de 70 à 90 millions d’euros par an.
Ses émoluments actuel son de 17 millions d’euros, mais l’année prochaine il pourrait toucher 38 millions d’euros voir plus avec les Galaxy de Los Angeles, ce qui ferait de lui le footballeur le plus payé de toute les temps.

Pour devenir populaire, Lewis Hamilton devra mêler Formule 1 et showbiz comme son homologue footballeur l’avait fait. Mais ce que l’on ne dis pas, c’est que Beckham a bénéficié à la fin des années 90 de la notoriété de sa femme Victoria, ex Spice Girl’s, traqué par les médias. Mais depuis le joueur de Real Madrid c’est imposé au début des années 2000. Alors de là a ce que Lewis sorte avec une pop star ou de cinéma anglaise ou américaine…

« La chance de Lewis Hamilton est d’avoir en 5 courses déjà conquit le cœur des fans et même des personnes lambda qui le connaisse », indique Clifford.
Actuellement Lewis Hamilton a des revenus estimés à 5,5 millions de dollars, et sa marque vaut déjà 50 millions de dollars, imaginons dans quelques années…Mais pour décoller, il doit gagner rapidement et s’installé dans le monde du business de manière plus impressionnante que Michael Schumacher ne l’avait fait.