L’avenir moteur engage désormais deux visions : La première, celle de la Fédération Internationale de l’Automobile et la seconde par Liberty Media. Si pour le moment la FIA a le soutien des constructeurs, l’équilibre est fragile (surtout si des changements de dernière minute sont proposés, comme cela a été le cas dernièrement avec la baisse de la partie électrique de 50% à 35%). De son côté, le détenteur des droits commerciaux, réactive une vieille idée.
Sur Autosport, Stefano Domenicali anticipe l’avenir : « Soyons clairs : les grands constructeurs, mais nous sommes également suffisamment matures pour savoir que, si une crise frappe l’industrie, les grands groupes automobiles pourraient être amenés à prendre des décisions difficiles. C’est pourquoi nous devons simplifier et réduire considérablement les coûts, tout en maintenant un lien technologique pertinent avec les véhicules de route, comme les carburants durables, qui peuvent compléter les offres de véhicules électriques. Si une crise oblige certains à suspendre leurs programmes de F1, nous (Liberty donc), sers en mesure de réagir de manière indépendante et de trouver des alternatives. »
L’incertitude économique du monde et le prochain paradigme qui se dévoilera derrière le voile d’ombre actuel, laisse une séquence avec beaucoup de « si ». Un ordre nouveau que ne compte pas véritablement attendre Liberty Media, qui craint que les constructeurs moteurs se rétractent, car leur économie est considéré par les experts du secteur, comme fragile, voir très fragile. Et si jamais en 2028/2029 il y a des retraits ?
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