En Formule un, les contrats des pilotes sont fait et défait avec une facilité déconcertante.
Pourtant, un contrat est un contrat et il doit être respecté. Ce qui est de moins en moins le cas de nos jours, le cas Button cette année reste l’exemple principale.
Pourtant certain contrat dispose de clause intéressante, petit historique.

Nous avons eu l’histoire d’un pilote il y a quelques années qui c’est vu offrir une voiture de sport après avoir trouvé un accord avec un top team et ne pas avoir accepter une autre offre.
Il y eu aussi un pilote (Villeneuve) qui demanda et reçut le remboursement de son motorhome personnel.
Il y eu aussi un pilote qui voulait et obtenu des billets en 1er classe à destination de tous les grand prix pour une femme importante dans sa vie.
Et Nigel Mansell qui souhaitait ne dormir que dans des hôtel 4 étoiles et qui faisait remboursé les notes exorbitantes à l’équipe Williams.

Bienvenu dans le monde des contrats de pilotes et leurs exigences, conditions et ce qu’ils ont reçut pour certains.

Tout d’abord tout contrat en F1 dispose d’un Fixe et d’un variable. Ce variable varie de 50.000$ à 1M$ par points marqués.
Raikkonen dispose d’un contrat Mclaren avec un fixe (32M$) et d’un variable de 1M$ si il gagne le titre de champion du monde et de 1M$ la victoire (limité à 3). Mais le pilote Finlandais empoche la somme après avoir remporté 2 victoires.
Il existe aussi une clause de performance qui permet au Team manager de tenir le pilote et limité les coûts.
Mais il y a aussi des clauses plus spécifiques comme celle de Schumacher qui décrit que la Scuderia Ferrari doit se concentrer sur lui et sur aucuns autres pilotes.

Le Sponsoring et le merchandising sont plutôt strict. A part Schumacher qui a réussi à obtenir les droits d’exploitations de la marque Ferrari, peut de pilote d’ailleurs arrive à vendre des produits à leurs nom à cause de cela. Il faut souligné qu’en 1998, Mclaren souhaitait embaucher Schumacher, mais les contacts ont bloqué non pas sur les salaires, mais sur les produits dérivées, car le pilote allemand souhaitait 50% du merchandising de l’équipe.
Ayrton Senna est le dernier pilote qui négociait personnellement avec son sponsor principal : Banco Nacional sans le dire à Mclaren et Honda.
Les pilotes depuis 5ans disposent de contrat publicitaire masqué, pour porté une montre par exemple. Sans que la marque soit sur la combinaison ou le casque.
Ce qui est aussi très intéressant sont les accords non pas entre l’équipe et le pilote, mais l’équipe et une entreprise individuelle d’image.

Puis le recourt aux avocats reste monnaie courante en F1, pour réglé les différents, alors que à l’époque Prost/Senna, un coup de téléphone suffisait.
Autre exemple pour conclure et ce qui c’était passez pour un pilote bien placé ces dernières années, qui avait la réputation d’être excellent dans les relations publiques. Et qui avais atteint le cota maxi d’heure de représentation prévu dans son contrat. Et bien le sponsor qui avait souhaité le pilote pour un projet de relation publique a du payer un supplément, lequel inclus généralement les frais du jets privés pour ce rendre sur place et la chambre d’hôtel 4 étoiles, mais aussi la suite de l’agent et certain achat de la fiancé dans la boutique de l’hôtel.

Il est loin le temps ou une bonne poignée de main, façon Jackie Stewart et Ken Tyrrell. Aujourd’hui un contrat est synonyme de Business, d’image et de bonus.