Il y a quelques jours, Bernie Ecclestone avait menacé le GP de Belgique d’une éradication du calendrier, si le pays ne trouvait pas une solution pour permettre à la course de Formule 1 d’être directement sous la tutelle du gouvernement.
«Peut-être qu’ils ont besoin d’une pause, parce que commercialement cela ne fonctionne pas. » a lancé l’argentier de la Formule 1 au Guardian cette semaine. Précisant que la piste de SPA était bonne pour les pilotes, mais nulle pour les spectateurs qui achètent les billets pour voir les courses dans les tribunes.
Toutefois, la déclaration d’Ecclestone sur le GP de Belgique arrive quelque temps après le bouleversement que subit encore le pays politiquement. En effet, la situation politique en Belgique demeure dans l’impasse après le refus opposé lundi par les partis francophones à un projet de réforme présenté par les indépendantistes flamands, missionné par le roi Albert II, pour sortir d’une crise qui dure depuis quatre mois désormais. Une impasse qui relance la rumeur de nouvelles élections législatives (voir ce lien pour en savoir plus).
Fin Septembre, Jean Claude Marcourt, ministre de la région Wallone avait indiqué : « Notre région ne peu plus se permettre plus de pertes continues. » visant le Grand Prix de Formule comme principale sources des maux. Le même homme qui indique aujourd’hui : « Nous ne devons pas dramatiser la situation, parce que les négociations se poursuivent. »
La situation risque d’être toutefois compliquée pour la Belgique dans les mois prochains.
0 Responses to GP Belgique : positive attitude mais situation difficile