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Dossier : Jeff Gordon, L’exemple US partie 2

Coté Sponsor, Jeff Gordon et Dale Earnhardt jr sont les pilotes qui gagne le plus.
Pepsi donne 2M$ a Gordon, Law (les chips) 1M$, Chevrolet lui fournit ces voitures annuels…Au total, le pilote au numéro 24 gagne 8M$ de sponsoring.
Personne avant lui n’avait gagné autant d’argent par ce biais dans la discipline.
En 1996, Dale Earnhardt, la valeur étalon de beaucoup de pilote, gagnait 8M$ venant de ses sponsors personnel et produits dérivés.
Par Exemple, Michael Schumacher, qui est le seul pilote de F1 a avoir des sponsors personnel, avec Fernando Alonso, gagne 10M$, Alonso en gagne trois.
En comparaison, Tiger Woods gagne 35M$ de ses sponsors et LeBron James gagne 25M$ uniquement grâce a ces sponsors personnels.
La différence entre les pilotes NASCAR et les pilotes de F1 est leur Disponibilité envers le publique. Jeff Gordon se prête avec enthousiame à toute manifestation organisée par ces sponsors et signe des centaines d’autographe par week end de course.

Cette proximité qui ressemble beaucoup a de l’idolâtrie, se traduit dans la vente de produits dérivés.
Chaque pilote NASCAR a sa propre ligne de produit, tout ceci estampiller du logo NASCAR qui vend ces produits sur Internet ou dans de gigantesque stand dans l’enceinte du circuit.
Mais les grandes stars de la discipline possèdent leur propre ligne de produit qui vende sur leur site internet ou dans des stands spécifiques au abor du circuit.
Du T-shirt, classique en passant par le ZI PPO, la casquette et miniature de la voiture représente le plus gros des ventes, mais d’autres produits originale sont aussi vendu, comme le Monopoli Nascar, la carte de Crédit a l’effigie de Jeff Gordon, des Bouteilles de vin, Rideau de douche, fauteuil de salon et même une horloge Comtoise !
Bref tout est bon pour vendre, et sachez que chaque fan de NASCAR dépense en moyenne dans l’année plus de 3000$ par an pour assisté a une course ou plusieurs et a acheter les produits de leur pilote préférer.
En F1, un fan ne dépense que 500 voir 800 euros par an et 10% de chaques produits revient au pilote.

http://www.jeffgordon.com/

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Dossier : Jeff Gordon, l’exemple US partie 1

20M$. C’est les revenus du plus grand champions NASCAR actuellement en activité. Son Nom : Jeff Gordon.
4 fois Champion dans la discipline, une véritable star au USA qui avec son numéro 24 gagne sur tous les ovales des Etats-Unis.
Pourtant ces revenus, sont différent et composé de 4 sources financières : Salaire, Primes, Sponsors, Produits Dérivés.

Jeff Gordon est un des pilotes NASCAR les plus payer avec Dale Earnhardt jr, le fils de Dale Earnhardt, le plus grand champion de la discipline avec Richard Petty.
Gordon gagne 8M$ de salaire que le sponsor principale de sa voiture paye en plus du sponsoring. Un peut à la manière cigarette de Ferrari qui paye le salaire de Schumacher et le sponsoring de l’équipe.
Pour mémoire, Dale Earnhardt, touchait en 1996, 2,6M$ de salaire.

Les pilotes NASCAR ont toujours été les pilotes professionnel les moins payer par rapport a la popularité de leur discipline, qui réuni 35millions de fidèle par course devant la télévision et dont le business est évaluer a plusieurs Milliard de Dollar, soit autant que la F1.
D’ailleurs a l’époque de Dale Earnhardt, Michael Schumacher gagnait 25M$ de salaire chez Ferrari. Et l’année dernière le même Schumacher, maintenant 7 fois champion du monde gagne 35M$ alors que Jeff Gordon en gagne 8M$.
Les Stars de NBA Gagne beaucoup plus que les Stars de la NASCAR. James Lebron gagne 4,3M$, alors qu’il ne joue que depuis 3 ans dans la grande ligue, et gagnera sûrement 17M$ une fois sont contrat de Rookie fini.

Mais la différence entre les Pilotes NASCAR et leur homologue de la F1 ou de la NBA, c’est qu’il touche des primes énormes.
Gagné Daytona en début d’année rapporte a sont vainqueur la somme de 3M$, gagné le championnat rapporte 5M$ et 20% des épreuves du championnat qui compte 38 courses dans l’année ont une prime de victoire de 1M$.
Jeff Gordon a cumulé 60M$ depuis ces débuts en 1992 de prime.
En 1947, le 1er vainqueur de Daytona gagnait 100.000$, en 1993 le vainqueur du championnat gagnait 1,2M$.
En F1, certain pilote comme Kimi Raikkonen bénéficie de Prime, mais c’est l’équipe Mclaren qui lui donne. En effet le pilote Finlandais gagne 1M$ par victoire (qui sont limité a 3 maximums) et 1M$ si il gagne le championnat. Michael Schumacher gagne une prime de 20M$ si il gagne un titre.

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Dossier Tomorrow : L’inflation des circuits de F1 partie 1

Spa puis Hockneim son en difficulté pour l’avenir. Le promoteur du circuit belge, sous les dettes a mis la société qu’il dirigeait et qui gérait le Grand Prix de Belgique en banqueroute financière. Tandis que le circuit qui accueil le Grand Prix d’Allemagne, après avoir réalisé des efforts financiers de 61M€ pour rénové le circuit en 2002, n’arrive pas à gagné de l’argent.
L’avenir des circuits européen est mal en point.

Depuis presque 10 ans, le Grand Prix de France avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’état déplorable de ces finances. Mais ces voisins s’en moquaient car la France a toujours été un Etat qui a un rapport avec l’automobile qui reste contradictoire.
Pourtant la FFSA qui gère maintenant le Grand Prix de France doit déboursé 12M$ par an pour avoir droit à la course. Alors que ces rentrés d’argent sont de 10M$, un casse tête.
Mais quelles sont les revenues des promoteurs des circuits ?
Simplement réduit à la billetterie, car tout le reste revient directement ou indirectement à l’argentier de la F1, Bernie Ecclestone.
Les sponsors vus au abord du circuit, ne revienne pas aux circuits qui les affichent tout comme une partie des revenues télévision.
Ce système qui n’avait pas été contesté jusqu’à présent revient inabordable pour certain circuit, pourtant historique à la F1, comme les Grand Prix de France, d’Allemagne, de Belgique et d’Angleterre.
De plus l’arriver de nouveau circuit exotique à contribuer a augmenté les revenues de ces historiques, car la Malaisie, Barhain, la Chine et la Turquie donne des sommes folles et n’accueil qu’une voir trois courses par an. Et l’effort financier est géré par les Etats.

Pourtant certains promoteurs de circuit bénéficient de tarif avantageux. Comme l’Australie, qui paye autant que la France sont tarif annuel mais qui touche une partie des sponsors sur le circuit a hauteur de 30% ce qui permet d’obtenir près de 5M$.
Dans le même esprit, le GP d’Espagne ne donne presque deux fois moins que les historiques pourtant cette course depuis l’explosion d’Alonso, champion du monde 2005 offre un chiffre d’affaire de 50M$ par an.
Dans le même esprit, suite à la course catastrophique d’Indianapolis, le promoteur a réussi a obtenir une réduction pour moitié de son tarif pour passé de 12,5 à 6M$ pour 2006 et 2007.
Le GP de Monaco, en raison de son prestige ne donne rien, mais gagne 90M$/an avec cette course. Et le GP d’Italie, avec son caractère historique ne débourse que 3M$ par an, merci à la contribution de Monsieur Ferrari qui a fait garantir un contrat de près de 30 ans a Monza pour un tarif d’amis qui augmente de 1M$ tout les 5 ans.

Dans un esprit différent, remarquons que le GP du Canada a réussit un tour de force en garantissant 22M$ a Bernie Ecclestone pour le non affichage du Tabac sur les voitures en plus des 10M$ annuels.

Il y a quelques années les circuits historiques bénéficiait d’une certaine immunité tarifaire mais depuis l’affaire Silverstone en 2001, tout est déréglé.
Cette affaire a permis à Ecclestone de faire payer un circuit historique plus chère qu’avant.
A l’époque il y avait une société anglaise de management qui avait acheter a fond perdu le circuit de Brand Hatch pour le rénové, mais pour des raisons écologique, elle n’a pu disposé du GP, pourtant la présidente de la société avait négocié l’organisation du GP a partir de 2003. Résultat, la société de management a fait faillite et elle est obligée de louer le circuit de Silverstone pendant 5 ans. Suite a cette affaire tout les tarifs européen on été multiplier par 2 ou 3.
L’Angleterre donnait tout les ans 4M$ alors que maintenant c’est le double et la France en donnait 6M$….

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Williams avec O2 ?

L’annonce de l’accord Vodafone/Mclaren pour 10 ans et 800M$ puis de Intel/BMW Sauber, 150M$ pour 3 ans ouvre la voie à de nombreuses rumeurs pour les autres équipes.

Et si Williams signe avec 0², l’opérateur Télécom anglais ?

L’opérateur a été contacté par Mclaren cette année pour un contrat de 3 ans de sponsor principal de 180M$ dans un premier temps, puis un contrat de 3 ans de second sponsor pour 60M$.
L’identité de Williams étant plus anglaise que d’autres équipes, le rapprochement n’est pas impossible.
RBS, qui est la deuxième banque anglaise a signé avec l’équipe et Castrol resterait aussi, tout les autres sponsors Allemand soutenus par BMW sont parties.
L’arrivé de 0² pour 20M$/an permettrait à la banque RBS de devenir le sponsor principale de l’équipe.

Coté Ferrari, l’équipe serait en discution avec Alice, le FAI italien, mais cela reste peut probable car Marlboro a signé un gros chèque pour être tout seul sur la F2007.

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Et si Goodyear revenait?

Michelin a pris la décision de ne pas prolonger son engagement en Formule 1 au-delà de la saison 2006. Il semble aujourd’hui que les règles de la F1 vont être modifiées pour imposer un fournisseur unique de pneus. Après consultation de ses fidèles partenaires (Mc Laren/Mercedes, BMW/Sauber, Renault F1, Honda Racing F1) et de Sir Franck Williams, Michelin est maintenant convaincu que l’évolution vers un seul manufacturier est inéluctable. Dans ce contexte continuer à investir en F1 sur le long terme ne présente plus le même intérêt.

Pourtant, un manufacturier pourrait remettre en cause le projet de manufacturier unique. Goodyear.
Le fabriquant de pneu américain, 3ème mondiale s’était retiré de la F1 fin 1998 pour pouvoir ce concentré sur ces courses américaine. Hors comble de malheur, Bridgestone lui taille des croupières aux USA car elle équipe l’IRL et le Champ Car alors que Goodyear n’équipe que le NASCAR.

Hors le fait d’être attaqué sur son terrain, c’est la course technologique qui intéresse le plus le manufacturier américain, car il est en retard.
Bridgestone au contact de Michelin a beaucoup progressé et propose d’excellent pneu.
Mais comment Goodyear va s’imposer face au manufacturer unique ? Et bien en faisant ce que Michelin a toujours refusé, faire de la politique et du lobbying.
Goodyear a laissé de bon souvenir à beaucoup d’équipes car elle les a équipés pendant longtemps.

En 2001 Ron Dennis était entré en discussion avec les dirigeants de Goodyear pour établir un plan de retour du manufacturier, mais le géant américain ne le souhaitait pas car, selon elle deux manufacturiers qui s’affrontent est sains pour la F1 alors que trois cela serait la pagaille.
De plus Michelin n’a jamais été en formule 1 que sur de courte période et juste pour démontré son savoir faire technologique. Alors que Bridgestone est là pour longtemps.

Michelin finalement paye son attitude de typhon de la F1, qui arrive tout n°1 mondiale qu’il est, démontre son savoir faire et sa supériorité technologique et s’en va après 5 ans ou plus. Le sport a l’ancienne…

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Scoop : Vodafone signe avec Mclaren pour 2007

L’annonce vient d’arrivé, Vodafone sera le sponsor titre de l’équipe Mclaren Mercedes pour 2007.
Ce sera donc 80M$ de plus dans la besace de l’équipe Woking qui avait déjà « dragué » l’opérateur de téléphonie mobile en 2000 pour remplacé en 2002 son cigarettier West.
Et une belle démonstration de puissance marketing, pour une équipe qui avait cette année afficher un fabriquant de spiritueux Johnny Walker pour 25M$/an et gardé Siemens ou son nouveau propriétaire est content des résultats de l’équipe.

Pourtant après avoir tout gagné chez Ferrari depuis quatre saisons, la Scudéria a décidé d’offrir toute sa carroserie a son partenaire historique, Marlboro pour 150M$/an en moyenne.
Après avoir démarché les compagnies d’électroniques comme Intel, Sony et Samsung, c’est Finalement Vodafone qui sera le sponsor titre de l’équipe. Un juste retour des choses quand ont sais que Ferrari avait piqué il y a 10 ans Marlboro à Mclaren.

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Les news Tomorrow


Football

Une Brasserie lorraine va mettre en vente, à partir du 12 décembre, une bière blonde aux couleurs de l’AS Nancy-Lorraine. « La Chardon rouge », conçue en partenariat avec le club de football nancéen.
Un premier bassin de 8.000 litres sera embouillé cette semaine pour les grandes surfaces de la région ou mis en fût pour les cafés et restaurants lorrains. L’étiquette est estampillée d’un chardon rouge, le sympbole du club, mais en reprenant le graphisme de 1978, celui des années Platini.
Au dos de la bouteille, une autre étiquette présente la photo de l’ensemble de l’équipe de la saison 2005/06.
Source Sportstratégie.com

Tennis

Martina Hingis souhaite revenir sur le circuit WTA la saison prochaine, selon son agence, Octagon. Plus jeune numéro 1 mondiale à 16 ans, Martina Hingis a arrêté sa carrière en octobre 2002 après une série de blessures aux pied et avait trainée en justice son ancien équipementier Sergio Tachini, l’accusant de n’avoir pas fourni de chaussure adaptée au tennis.

« J’ai adoré les moments passés en dehors des courts, indique la Suissesse via son agence de marketing. Mais quoi qu’il en soit, la compétition face aux meilleures joueuses du monde me manque. »
Victorieuse de cinq titres du Grand Chelem, dont trois en 1997, Martina Hingis a aujourd’hui 25 ans. L’ancienne numéro une mondiale avait raté un premier « retour » sur le circuit professionnel en février 2005. Elle avait été éliminée au premier tour du tournoi de Pattaya par l’Allemande Marlene Weingartner 1-6, 6-2, 6-2.
Source Sport.fr

Formule 1

La BBC négocie avec un producteur hollywoodien, Darren Starr, le créateur de la série Beverly Hills de Sex in the City mais surtout de Starsky et Hutch.Le producteur a envie de produire une comédie (Sitcom) basé sur la F1. La BBC c’est engagé à en dire plus d’ici l’année prochaine.
Source cololotwin.com


Handball

Le grand pardon !
Vesoul a conquis un succès logique et effacé son revers à Bouillargues…
VESOUL. Vesoul bat Lyon 22-21. On attendait une réponse après la gifle reçue à Bouillargues (36-26). Les Vésuliennes l’ont apportée. Malgré un départ chaotique, le premier signe rassurant venait du rideau défensif, sur lequel Lyon butait régulièrement. Avec une mention spéciale, encore, pour Dumont dans son but.

Gendre (4 buts) comme fer de lance plaçait donc les siennes sur orbite (7-4, 17e). Lyon venait d’essuyer un cinglant 5-0. Une série indigeste que les visiteuses traînaient comme un boulet jusqu’à la pause (13-10). Malheureusement, les Vésuliennes allaient faire des choix offensifs plus douteux débouchant sur une disette offensive de sept minutes !

David de passage dans les buts mettait en échec les attaquantes locales (6 arrêts en dix minutes ! ). Vaitanaki intenable au coeur de cette révolte ramenait donc presque logiquement sa formation à flot (15-15, 42e). Temps-mort et gros coup de colère, vous pouvez l’imaginer de Cheikh Seck. Des décibels bienvenus. Effets garantis et immédiats…

Le CSVHS revoyait sa copie défensive pour reprendre sa marche en avant par Schulz (15-15, 17-15). Dabonnot redonnait même à ses couleurs le petit matelas originel (18-15).
Mais Lyon tentait alors une dernière option. Avec une défense très haute gênant le collectif local. Bernier se nourrissait du jeu rapide qui en découlait pour faire passer un grand frisson dans les rangs locaux (20-19, 56e). Un arrêt de Dumont, revenue aux affaires après un bon passage de Vivot dans le but, et une prise de responsabilité de Mariot redonnait de l’air (21-19).

Mais il était écrit que la fin de match serait plus que tendue. Lyon revenait une nouvelle fois à hauteur sur un but de Roussey (21-21, 59e). Dans un dernier élan de coeur, et les Vésuliennes n’en ont pas manqué, Gendre parvenait à trouer les filets visiteurs et Dumont signait cette oeuvre collective avec un dernier arrêt lors des ultimes instants. Ouf !
Source csvesoulhandball

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Dossier Tomorrow : Le mystère Villeneuve Partie 2


Des débuts hallucinants, une carrière en dent de scie, Jacques Villeneuve a réalisé son retour en F1 en 2005 chez Sauber, un retour mi figue mi raison. Mais un champion.

LE RETOUR CHEZ SAUBER

Durant l’année 2004, Jacques Villeneuve était resté en contact avec l’équipe Williams BMW. En effet Franck Williams avait toujours apprécier le pilote Québécois, mais en Août 2004 et l’affaire Button a démontré que le champion du monde 1997 n’était finalement pas sa priorité. Peux avant au mois de Juillet, Peter Sauber contact Graig Pollock pour une rencontre.
Suite a une discussion en patois locale avec Sauber, Villeneuve apprend qu’il recevra un salaire de 3M$ fixe et 100.000$ par points marqués. Un planning d’essais et opération promotion avec Petronas et Crédit Suisse sur mesure.
Le contrat a été signé le 24 Septembre 2004. JV a établie la performance de signer deux contrats en 30 min, dont celui qui court pour deux saisons avec Sauber.

Pourtant ce début de saison n’a pas été brillant, faute surtout a une voiture peut compétitive et une soufflerie magnifique mais peut exploité. Les critique fuse, Chez Williams on déclare que Jacques n’a jamais été un foudre de guerre, chez BAR on annonce que Jacques ne s’investit pas dans l’équipe. Mais petit à petit le pilote revient en performance pure et dure face a Massa et devient sympathique en publique. Bref le pilote revit comme au temps de son début de carrière.

Le tournant pour l’équipe Sauber, reste le rachat de l’équipe pour 60M$ par BMW, Villeneuve est sur la touche, suite au rachat de contrat a hauteur de 6M$ que Williams avait sur Nick Hedfeild, résultat l’allemand signe un contrat de 4 ans de 40M$. Mais le second pilote n’est pas encore définit.

UN RETOUR MI FIGUE MI RAISON

Rapidement l’équipe BMW a établie une première liste de pilote et contacta Michael Schumacher qui déclina l’offre. Puis l’affaire Raikkonen qui a été vite avorté quand le Boss de l’équipe allemande a remarqué le salaire du pilote Finlandais. Ralf Schumacher avait été aussi contacté mais sous contrat solide avec Toyota, le pilote décline aussi. Pendant ce temps Villeneuve attend et continue la saison sous observation.
L’intersaison arrivant, des rumeurs sur le possible départ de JV de Sauber BMW reste plausible, car Flavio Briatore a réussi à installer son protégé Heikki Kovalainen pour 2 ans et payer la moitié du dédommagement salariale du Québécois.
Mais Briatore, pensant que le prix du rachat était celui qu’il avait payer Indirectement 3M$ a Sauber (Par le biais de Williams) proposé ce dédommagement. Mais cette clause n’était pas celle prévu par l’italien, car JV peut partir de l’équipe contre 15M$ totale. Pourtant le licenciement de Jacques ne fait aucun doute chez les Boss en Allemagne de BMW. Alex Wurz est contacté, on lui propose un poste de pilote d’essais en 2006 et un poste de titulaire en 2007 pour 5M$/an mais finalement, l’équipe Hévético Allemande confirme Jacques Villeneuve comme deuxième pilote de l’équipe. Mais force et de constater que ce retour en arrière était plus une certaine radinerie de la part de BMW qui a découvert ce que Franck Williams lui avait caché, La vie chère de la F1.

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Dossier Tomorrow : Le mystère Villeneuve Partie 1


Des débuts hallucinants, une carrière en dent de scie, Jacques Villeneuve a réalisé son retour en F1 en 2005 chez Sauber, un retour mi figue mi raison. Mais un champion.

DES DEBUTS HALLUCINANTS

1er Août 1995, suite à sa formidable saison Indycar ponctuée par le titre de champion et la victoire aux 500 miles d’indianapolis. Jacques Villeneuve essaye à Silverstone une F1. Ecclestone voulait du sang neuf et veut le Canadien. Il l’aura et ne le regrettera pas.
En effet Jacques devient rapidement le chouchou du public et des médias et démontre tout son talent en piste grâce à des dépassements. Depuis Senna, aucun pilote n’avait dépassé en piste à l’époque.
Son monument : le dépassement sur Schumacher à Estoril dans la courbe qui mène à la ligne droite par l’extérieur !
Le pilote devient l’anti Schumacher trop fade malgré son arrivé chez Ferrari et sa dimension de champion du monde. L’allemand se fait démolir en popularité par un jeune québécois. Jacques Villeneuve en cette année 1996 va aussi devenir une petite star du paddock, et commence à avoir des sponsors perso. Il signe un contrat avec Hype, une boisson énergisante. Mais le caractère du pilote n’a pas d’égale et quand lors de la cérémonie de présentation à la presse de l’accord entre lui et cette boisson, un journaliste lui a posé la question de savoir ce qu’il pensait de ce type de breuvage, réponse de Villeneuve : « Je trouve que ces boissons sont mauvaise pour la santé ». Personne n’a voulu savoir si cela était une boutade ou la réalité de sa pensé.

Finalement Villeneuve devient un champion du monde potentiel et même réel en 1997.
Puis 1998, Williams amorce son déclin et le champion du monde en titre critique le nouveau règlement, le moteur, les pneus, la voiture. Pourtant il est le pilote le plus populaire du plateau, multipliant les contrats pub (Kappa, Baume et Mercier) comme ses teintes de cheveux. Il était l’idole de la F1.

UNE CARRIERE EN DENT DE SCIE

Mais malgré cela, il lui faut un nouveau challenge, ce sera l’équipe BAR. L’équipe parfaite pour Villeneuve, car l’équipe était entièrement tournée sur lui, comme Ferrari avec Schumacher.
C’est aussi à partir de ce moment que le champion du monde 1997 va devenir détestable.
Il ne faisait plus de relation publique et ces interviews tournaient au coup de gueule permanent, D’où une réputation de pilote jamais content, mais qui profite du système. Il faut dire que l’équipe BAR n’a aussi pas beaucoup d’amis dans le milieu et quel a commencer sa carrière en F1 par un contentieux avec la FIA avec son concept de voiture de couleur différente.
La 1er année, 1999 sera catastrophique, la voiture n’est pas mauvaise, mais l’ensemble et d’une fiabilité déplorable.
L’année suivante ira mieux grâce au Moteur Honda et surtout un alourdissement de 20kg. Durant cette deuxième année chez BAR, Villeneuve recommence à faire parler de lui dans les autres équipes. Mclaren, Benetton (piloté par Renault) et BAR sont intéressé par ces services. L’équipe de Ron Dennis lui propose le contrat de David Coulthard, mais recule finalement car le québécois et aussi chère que Mika Hakkinen. Flavio Briatore lui, fraîchement arrivé chez Benetton Renault, souhaite Villeneuve pour 3 ans. En se sens il lui propose un contrat de 30M$ sur cette durée. Villeneuve visite les locaux et reste très intéresser. Mais voilà la proposition de BAR. L’équipe étant bâtie autour du champion du monde 97, l’équipe ne veut pas voir partir son emblème. C’est alors que BAT (British American Tobacco) propose le chantage suivant :
Carte blanche sur le salaire de Jacques, il doit rester sinon 300 personnes se retrouvent aux chômages.
Finalement Graig Pollock et Villeneuve signe un contrat de 3 ans de 60M$ avec une année 2001 pour 16M$, 2002 pour 20M$ et 2003 pour 24M$.

Puis vient 2002, la révolution chez BAR, David Richards débarque dans l’équipe avec son équipe de management. Le salaire de Jacques Villeneuve est montré du doigt. Pensé donc 20M$ pour les même performances en piste que Panis payer lui 3M$, Richards pense qu’il est volé. Surtout que JV ne brille pas plus que cela avec une voiture qui n’est pas vraiment une F1. Car Moteur et Châssis ne sont pas les plus réussi du plateau.
La campagne Anti – Villeneuve débute là dans la presse anglaise.
Button lui donnera le coup de grâce. A force de déclaration méchante et agressive du québécois envers son coéquipier anglais en début de saison. JV se retrouve à la fin 2003 avec la réalité des chiffres devant lui, Button a été plus performant que lui et il coûte beaucoup moins chère, 3M$.
On peut remarquer que la démarche de BAT, le sponsor de l’équipe n’est pas très sympathique envers Villeneuve car ce sont eux qui voulaient le garder et lui ont proposé un contrat en or pour ne pas qu’il quitte l’écurie pour Renault fin 2000.
Enfin en fin de saison 2003, Jacques est sur la touche. Depuis Mansell et Prost ont avait jamais vu de Champion du monde mis de coté.
Pourtant des solutions ont été proposés, comme stabilisé le salaire de JV à 16M$ payer en 2003 par Forsythe en Champ Car et BAR à 50/50 puis revenir chez BAR en 2004 pour la même somme.
Pourtant après une saison 2004 remplis de spiritisme, il signe chez Sauber après un petit entraînement chez Renault en fin de saison ou certes il n’a pas brillé, mais il était aussi performant que Alonso.

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