Les données de simulation en suspens
L’interrogation technique principale en Hongrie était la corrélation entre les outils numériques a l’usine et la réalité de la piste et cela est nuisible pour les investissements plafonnées.

Mercedes est revenue en arrière en abandonnant sa suspension arrière introduite à Imola (et qui a permis à Russell de remporter la victoire au Canada), pour la configuration antérieur. Une perte de temps, pourtant devant apporter des résultats tangibles.
L’histoire nous dira si la nouvelle suspension arrière Ferrari aura le même destin que celle de Mercedes.
Red Bull tente depuis 1 an de faire concorder ses donnés simulations avec la piste. En vain pour le moment. Et il est dit que pour 2026, c’est une approche Racing Bulls qui sera choisie par Mekies. D’autres sont dans la même situation que Red Bull. Ce qui interroge.
Pire, il est déjà dit que 2026 sera déjà compliqué pour 50% des écuries, principalement à cause des soucis de simulation entrevue entre 2024 et 2025. Car ce sont ces outils d’aujourd’hui qui servent pour la conception de la monoplace 2026.
Notons que toute les écuries sont désormais tournée vers 2026 à 100%


Nous vous en avions parlé la semaine dernière et le débat a été très important sur ce blog (
L’arrivée du prochain moteur 2013 occupe beaucoup les esprits des motoristes. En effet la dérive des coûts inquiète certain acteur. Le chiffre de 100 millions doit toutefois être réduit à 30 millions d’euros pour le développement du prochain bloc. Mais ses coûts doivent être mesurés.
Une petite phrase, voulant tout dire et rien dire à la fois sur l’avenir technique de l’équipe Hispania Racing Team. Il y a quelques temps, devant l’urgence de la situation, TomorrowNewsF1.com vous avait dressé la liste des alternatives techniques pour l’équipe espagnole. Mais, il apparait que HRT construise sa propre machine…


