Critique Netflix – The Seat
Si vous avez 40 min de temps libre, juste pour voir des images, le programme est pour vous. Sinon… le programme, made in WhatsApp montre Kimi Antonelli partout. Kimi au Kart, kimi a l’usine, kimi en famille, kimi en F2, kimi en F1, Monza 2024. Bref Kimi c’est Martine sans l’intérêt. Le drama de Monza est amplifié (pour correspondre au cahier des charges de ce type de docu). Les images de son annonce, sont les mêmes que dans Drive to Survive. Nous n’apprennons rien. Ou si Kimi est sympa.
Ce qui est toutefois intéressant c’est la dynamique père/fils. Une relation toxique que le documentaire tente de pas trop aborder. Mais des images et actes ne trompent pas vraiment.
Il aurait été vraiment puissant de voir la préparation durant l’hiver et pas quelques images en 8 min, avant de conclure le docu par Melbourne. Sachant que Mercedes a dépensée 20 millions d’euros sur sa préparation entre Septembre et Décembre, l’intérêt était réel. Sa progression, sa gestion du décalage horaire, l’évolution de ses temps sur une W12, par rapport à Hamilton sur les mêmes pistes par exemple.
Un projet documentaire qui passe finalement à côté de son sujet, mais qui est là pour construire un storytelliing d’un jeune prodige de la F1. Uniquement.