Archives du tag : Ferrari

Exor Capital et Ferrari

La Holding Exor (Famille Agnelli), envisage de céder 4% du capital de Ferrari SpA.

Une cession qui devrait rapporter 3.6 milliards d’euros.

Une décision qui a une raison économique et probablement judiciaire. Actionnaire majoritaire de Stellantis, le groupe automobile franco-italien est en difficulté depuis le départ de son PDG, Carlos Tavares. Mais c’est surtout l’affaire d’exil fiscale suisse (pour ne pas payer des frais de succession remontan à 2003), révélée en octobre dernier, qui pourrait être la vraie raison de cette cession. D’autant que l’administration fiscale italienne est entrée dans le dossier en fin d’année 2024. Une amende probable est envisagée.

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Podcast TWF1 – Les signes d’une bulle sur la valeur des écuries F1 ?

Saison 2 – Décryptage sur les signes d’une possible bulle sur la valorisation des écuries F1 à l’horizon 2026.

SYNOPSIS :
La valorisation de la Formule 1 à la bourse de New York, a atteint 25 milliards d’euros début février, soit une augmentation de 25 % par rapport à 2024. Dans les milieux financiers le PER (Prince-Earnings Ratio), est la norme et nous allons découvrir que si celui de la F1 est élevé, cela pourrait être aussi le cas pour les écuries de F1 à l’horizon 2026. Au risque de provoquer une bulle spéculative…

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Ferrari et l’effet Lewis Hamilton

Selon CityAM, dans les jours qui ont suivi le lancement de la saison 2025 de Ferrari au début du mois, les ventes de produits dérivés Ferrari ont augmenté de près de 400 % par rapport au lancement de l’équipe en 2024 sur l’ensemble du réseau de détaillants Fanatics, qui comprend la boutique officielle de Formule 1.

Selon les estimations, le chiffre d’affaires des produits dérivés, pourrait augmenter de 40 à 50 millions d’euros au minimum en 2025, par rapport à 2024. Flirtant avec les 150 millions d’euros annuel.

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Juste récompense chez Ferrari

Suite aux bons résultats sur l’ensemble de l’année 2024, Ferrari accordera à ses 5.000 employés une prime de 14.400 euros, soit une augmentation par rapport aux 13.500 euros obtenus l’an dernier.

L’usine de Maranello qui a livré 13.752 voitures en 2024 (+89 par rapport à 2023) a déclaré une hausse de 11,8 % de ses revenus nets à 6,67 milliards d’euros, avec un bénéfice net en augmentation de 21 % et 1,5 milliards.

6 nouveaux modèles (dont sa première voiture électrique), seront lancés en 2025.

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Superlicence constructeur 2025

Voici ce que devront payer les constructeurs à la FIA pour 2025 :

Mclaren : 5.809.647€

Ferrari : 4.857.493€

Red Bull : 4.4450.573€

Mercedes : 3.669.028€

Aston Martin : 1.253.343€

Alpine : 1.066 031€

Haas : 1.020.817€

Racing Bull : 943.309€

Williams : 755.996€

Stake/Sauber : 672.029€

Soit un total de 24.5 millions d’euros

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Ferrari et IBM

Ferrari a annoncé un partenariat premium avec la société IBM pour 2025.

La Scuderia affirme que son nouvel accord de sponsoring est destiné à « redéfinir la transformation numérique pour ce qui est lié à l’expérience des fans et à l’engagement des fans sur et en dehors de la piste de course ».

Un partenariat estimé à trois ans (2025/2026/2027) d’une valeur de 75 millions d’euros.

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Note du Mardi – Le cap des 100 victoires pour un constructeur

notedumardi-900x6757165869066367047722.jpgA l’issue du Grand Prix du Canada, Red Bull Racing a remporté sa 100ème victoire de son histoire. Entrant ainsi dans un club très fermé, comprenant que 4 équipes : Ferrari, McLaren, Williams et Mercedes AMG. Reste la question : quelle est l’équipe qui a été la plus efficace de l’histoire à atteindre ce cap ?

Avec 355 GP pour atteindre les 100 victoires, le taux de Red Bull Racing atteint 28.2%.

La Scuderia Ferrari a été plus longue à atteindre ce chiffre : il aura fallut attendre 1990 et 465 courses pour atteindre le chiffre des 100 victoires.
McLaren a attendue 1993 pour atteindre la barre des 100 victoires au bout de 380 Grand Prix depuis ses débuts en 1966.

Williams a été plus rapide, dès 1997, elle a atteint les 100 victoires au bout de 333 Grand Prix.

Mais c’est Mercedes AMG qui a été la plus rapide à atteindre le chiffre des 100 victoires. Au bout de seulement 208 courses.
Red Bull est toutefois sur le podium de l’histoire.

Mercedes AMG : 48%
Williams : 30.3%
Red Bull : 28.1%
McLaren : 26.1%
Ferrari : 21.5%

Notons que Ferrari et McLaren de part leurs longue histoire en Formule 1, ont eu aussi de longues saisons sans remporter de victoire. Dans la période récente, on se souvient de la période 1991-1994 de la Scuderia et la période 1994-1997, puis 2014-2021 de McLaren. Red Bull n’a pas remporté de victoire durant sa période de construction entre 2005 et 2009. Mais, hormis 2015, elle a toujours remporté une course en championnat.

Précisons que 9 victoires en 12 GP de Mercedes sont de la période Fangio/Moss de 1954 et 1955. Signifiant que 91 victoires ont été reporté en 196 courses.

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Note du Mardi – L’alternative Ferrari dans un transfert

Lewis Hamilton Brazil 2021La rumeur Hamilton/Ferrari et son timing du mois de Mai lance la saison folle des transferts dans le paddock. En coulisse, le contrat du septuple champion du monde patine avec Mercedes. Le montant, la durée du contrat bloquent. L’issue heureuse était attendue pour ce mois de Mai. Souhaitez par Lewis Hamilton et Toto Wolff. Le happy end n’étant pas visible à l’horizon, la piste Ferrari est réactivé. A raison.

Depuis l’ère moderne de la F1 et surtout depuis l’époque des titans (Prost/Senna/Mansell/Piquet), la Scuderia Ferrari est une alternative élémentaire pour une carrière à un moment donné. Alain Prost a reçu une offre à la fin des années 80, une fois titré champion du monde et a finalement signé pour 1990. Nigel Mansell a profité de l’opportunité pour répondre à Williams. Ayrton Senna avait déjà reçu une offre pour 1987, 1990 et 1993. Enfin Nelson Piquet disposait d’une offre de la Scuderia Ferrari juste avant de signer avec Team Lotus en 1988.

Dans le parcours d’un pilote, surtout les champions du monde, un volant Ferrari est indispensable pour accomplir une carrière. Kimi Raikkonen y est retourné deux fois (2007/2009, puis 2014/2018). Fernando Alonso une fois (2010/2014), Sébastian Vettel, une fois (2015/2020). Jenson Button a été démarché avant de prolongé chez McLaren dans les années 2010. Le comportement de Button relève d’une constante : on utilise Ferrari comme une alternative. Afin d’établir un contre-pouvoir.
Souvenir de Nico Rosberg, durant la saison 2016. Le champion du monde 2016, avait mandaté Gerhard Berger pour le représenté dans ses démarches de prolongation de contrat avec Mercedes. Voyant que ses exigences bloquaient. Berger a activé la piste de la Scuderia Ferrari. Qui a fonctionné puisque Rosberg a prolongé durant l’été 2016 son contrat. Avant d’annoncer sa retraite après son titre.

L’épisode Rosberg/Ferrari

Les premières rumeurs Rosberg/Ferrari remonte avant le GP de Monaco 2016. Puis après tout s’est accéléré jusqu’à la signature en Aout 2016. Toto Wolff avait indiqué qu’il démarrerait les discussions en juillet. Auparavant, les rumeurs ont été des placements de produits et exigence pour Rosberg dans les négociations. Le pilote allemand souhaitait 85 millions d’euros de contrat et trois saisons (avec une base de 25 millions), il avait obtenu 20 millions pour 2018 (une seule année de prolongation).

Le cas de Lewis Hamilton est quasiment similaire. Dès le début de saison le pilote souhaite un contrat de deux ans (2024/2025), alors que Toto Wolff souhaite un contrat 1+1. Côté salaire, le septuple champion du monde visait 140 millions d’euros total et une extension de 10 ans avec Daimler pour devenir ambassadeur. La rumeur Ferrari indique surtout que le pilote anglais ne souhaite pas baisser son salaire par rapport à aujourd’hui (45 millions d’euros). Ce qui signifie que Toto Wolff a appliqué la même stratégie qu’avec Nico Rosberg il y a 7 ans…

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