F1 – Pour la FIA insulter est moins grave que mentir ?
L’incivilité c’est quand il n’y a plus deux poids deux mesures. Visiblement mentir est plus grave que d’insulter une personne en Formule 1. Flavio Briatore en a fait l’exemple en toute impunité.
En réaction à l’appel rejeté des doubles diffuseurs, le virulent italien de Renault c’est emporté dans la Gazzetta dello Sport en accusant : » Vous disposez d’un pilote qui a été près de la retraite et un autre qui est un bon gars mais un « paracarno » (un pilote lent quoi) dans la lutte pour le championnat du monde «
Et de confirmé sa pensé » Je ne sais pas comment nous allons rester crédible après tout cela. »
Que répondre à cette attaque insultante envers le talent des pilotes ? Simplement par contre argument en nous rabaissant au niveau de Flavio Briatore.
Résumons donc, Renault dispose d’un double champion du monde qui dément dans la presse ce que Renault annonce, rendant la communication très épique, et un autre pilote qui séduit des jeunes filles en fleurs, qui ne connaissent rien à la F1, mais qui se révèle être une honte en matière de pilotage instantané. Bref, Renault ne vaut pas aussi mieux que Brawn GP pour le championnat du monde 2009.
Lorsqu’on critique une personne, il faut regarder ce que l’on à chez soi, au lieu de faire diversion monsieur Briatore afin de trouver un argument pour justifier une saison ratée.
Une amende envers Monsieur Briatore Monsieur Mosley ?
L’annonce hier a fortement secoué le petit monde de la F1. Surtout dans les rangs de la FOTA, au point d’annoncer que la décision d’hier ne disposerait que d’un but : détruire la FOTA de l’intérieur.
Le retour évident de Cosworth via le moteur standard aurait été facilité par un accord entre Max Mosley et Bernie Ecclestone.
Souvenez-vous, le professeur Tournesol était sourd. Il n’entendait donc pas les appels à la prudence, de ceux qui exagèrent les règles du « principe de précaution ». Voilà pourquoi le savant à la barbichette était créatif. Pour le meilleur (la fusée qui emporta Tintin sur la Lune) et pour le pire (son arme de destruction massive convoitée par l’affreux colonel Sponz).

