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Note du Mardi – CNBC et CNN, l’autre télévision

Note du mardiDepuis quelques années la télévision est devenu un partenaire visibilité de la Formule 1. Non pas comme diffuseur des courses, mais comme un relais d’information et plate-forme sponsoring.

CNBC a signé un accord avec l’équipe Sauber F1 Team pour la saison 2016. Depuis 2010, c’est la troisième équipe après Virgin/Marussia/Manor et Lotus à devenir partenaire du réseau de télévision américain. Dans le même temps, après plusieurs saisons de collaboration avec Caterham, CNN a signé un accord avec McLaren depuis 2015.  Dans le même principe, Williams qui pendant longtemps avait un accord avec Reuters a signé depuis 2014 avec le magazine Esquire. Si la forme change, le fond reste le même : Obtenir des exclusivités en misant le principe de « l’inside » donnant de la valeur au partenariat. Mais pas que.

Il y a 20 ans, le concept est né

En 1994, la petite équipe Simtek annonce un accord avec la chaine musicale MTV. A l’époque l’accord était estimé à 10 millions de dollars et était largement visible sur le capot moteur des petites machines anglaises. Après la faillite du team mi-1995, Benetton et Jordan ont fondu sur le groupe Viacom (propriétaire de MTV) pour obtenir le concours de la chaine musicale. La surprise fût grande de découvrir que l’accord n’avait qu’une valeur de 3 millions de dollars et que ce n’était qu’un échange de visibilité avec l’espoir de signer des partenariats nouveaux. Cela a été le cas avec Air Korea et Russell Athletic qui ont acheté de la publicité sur le réseau MTV et fait la promotion de Simtek.

En 2001, Prost Grand Prix signe un accord du même genre avec PSN (qui était déjà visible chez Minardi l’année précédente).Un accord d’une valeur de 10 millions de dollars sur le papier (6 millions de sponsoring et 4 millions d’exposition médiatique), car la société n’a jamais honoré sa promesse. Mais le principe était là.

La première pierre vers le développement d’une marque

En signant avec CNN et CNBC les équipes partenaires signent sur le concept du placement de produit et l’exclusivité. Elles espèrent obtenir une visibilité accrue, destinée à compenser leur manque de visibilité sur la piste, tandis que l’image et la stature internationale de ces réseaux laisse espérer la signature de partenaires complémentaires.

Ce principe inspire d’ailleurs le football. Le Bayern Munich a copié l’idée pour augmenter sa visibilité sur le marché américain en signant un partenariat éditorial Microsoft/MSN, digital avec Yahoo, ainsi que plusieurs réseaux de télévision locaux et la chaine Fox Sport qui diffuse la Bundesliga.

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Sauber en difficulté

Sauber C35Une année après, la situation est la même pour Sauber. En difficulté financière depuis 2013. L’équipe suisse a confirmée ne pas avoir payé ses employés en février. La situation est tendue. Monisha Kaltenborn précise qu’un sponsor est d’accord pour soutenir l’usine d’Hinwill. Bien qu’aucun contrat n’a été signé.

Le choix de ne pas courir après l’augmentation de son staff technique avait été fait pour maitriser les coûts. Malheureusement la technologie F1 coûte de plus en plus cher. Surtout avec le nouveau moteur introduit en 2014. Une unité coûtant environ 30 millions d’euros en 2016. Pendant ce temps le sponsoring est toujours évalué à 40/45 millions d’euros. Dans l’attente d’un plus important sponsor capable d’injecter 20 ou 30 millions d’euros dans le budget Sauber.

L’an dernier, Bernie Ecclestone avait accepté de débloquer 10 millions de dollars, soit une avance de la première partie de la redistribution des droits FOM qui est perçue en Avril. Une situation qui avait permis,  à l’équipe de souffler un peu. Une opération cosmétique, car durant la saison dernière les évolutions de la C34 ont été mesurées, pour ne pas dire absents.

Depuis 2013, les histoires autour des finances de Sauber ont fait échos à la situation de la Formule 1 en général. Avec une dette estimée à 80 millions d’euros, par les médias alémanique, le team avait conclu un accord avec des opérateurs russes pour injecter 320 millions d’euros sur une période indéterminée. Les discussions ont été nombreuses, longues, mais le contrat n’a jamais été paraphé par Vladimir Poutine, l’homme permettant à des sociétés publiques russes d’investir. Une année plus tard, l’un des opérateurs abandonna son soutien et le château de carte s’écroula.

C’est alors que Sauber a joué avec le feu. Promettant des volants qu’elle ne pouvait garantir. Encaissant 50% des sponsorings de l’année suivante, comme acomptes pour terminer ses saisons 2013 et 2014.  Une politique qui lui brulera les doigts avec Giedo van der Garde en mars 2015. L’équipe s’est finalement arrangée à ne pas payer l’intégralité des 15 millions souhaité, mais le voile ce leva sur Sauber. Il sera définitivement retiré avec l’affaire Adrian Sutil. Le pilote allemand devait permettre d’obtenir un sponsoring de 40 millions d’euros par année pour garantir son volant une année supplémentaire.

Il est probable que Bernie Ecclestone accepte de verser une avance à l’équipe Sauber. En espérant que l’annonce du futur sponsor ne soit pas un remake du projet russe de 2013.

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Litige autour d’une promesse de sponsoring

Sutil SauberLa rupture à l’amiable entre l’équipe Sauber et Guiedo van der Garde cachait un dédit de 13 millions d’euros en faveur du pilote hollandais. Aujourd’hui Adrian Sutil demande 3,2 millions d’euros de dédommagement à l’équipe suisse. Reflet d’une pratique assez étonnante, mais pas nouvelle.

Au-delà de l’aspect litigieux de l’affaire, c’est la prétendue promesse verbale du pilote allemand envers Sauber d’un parrainage de 35 millions d’euros, qui est le reflet le plus intéressant de l’affaire, montrant l’évolution commerciale des pilotes pour obtenir un volant.

Auparavant, une équipe acceptait d’investir sur un jeune pilote, espérant obtenir plus de revenues des droits TV et de sponsoring, via la performance. En parallèle, certains pilotes apportaient un complément de budget à l’équipe pour obtenir un volant. Puis dans cette première partie de décennie, la place du pilote a évolué. Nous ne parlons plus de droit TV, mais uniquement de partenariat privés.

Il y a des pilotes payé par un sponsor, des pilotes garantissant la présence d’un sponsor, des pilotes qui peuvent attirer des sponsors, des pilotes complétant le budget de l’équipe avec ses sponsors et enfin les pilotes qui promette des lendemains qui chantent. Auparavant cette pratique était l’adage des agences marketing.

Ainsi, pour le cas de Sutil, le pilote « aurait » promis 35 millions d’euros pour obtenir un contrat avec Sauber. Il a touché en 2014 un salaire estimé par le BusinessBookGP2014 à 2 millions d’euros, comme une avance sur la promesse, puis la suite de son contrat dépendant du sponsoring pour 2015 ou de l’avance obtenu de cette promesse. Un pourcentage de cette somme (comme pour Maldonado) servant de salaire pour le pilote intermédiaire.

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[FanaticF1] La courte histoire de Porsche en F1 entre 1989 et 1992

Footwork - Porsche

Après le succès avec l’équipe McLaren et le financement de la société TAG entre 1984 et 1987, Porsche décida de continuer l’aventure en Formule 1 sur le même modèle. Une courte histoire intéressante…

Lorsqu’en 1986, Ron Dennis est proche de signer un contrat avec Honda, l’association TAG-Porsche ne faisait plus partie de l’avenir de McLaren. La Formule 1 évoluait et les budgets explosaient. La marque japonaise utilisait 15 bancs d’essais et employait 250 personnes pour son programme  » Turbo F1 « , les moteurs coûtaient de plus en plus cher (environ 5 Millions de dollars en 1986 pour les plus performants, contre 1 ou 2 Millions l’année précédente et quelques centaines de milliers de dollars en 1984). A ce petit jeu, Ron Dennis savait que s’il devait rester avec un projet d’association McLaren/TAG/Porsche, l’investissement qui était de 5 Millions de dollars pour le turbo, passerait autour de 40 Millions de dollars pour un futur moteur atmosphérique. Un effort trop important pour la puissante équipe McLaren qui signa quelques mois plus tard avec Honda. Porsche devra trouver un autre partenaire !

Fin 1987, pour répondre à la nouvelle réglementation sportive F1 de la saison 1989 imposant des moteurs atmosphériques 3.50 Litres, la marque allemande étudie à la hâte un V12 80°C et en fait la communication dans la presse. L’objectif est de reproduire le même schéma qu’envers McLaren.

Vous êtes libre de cliquer pour découvrir la suite 

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Note du Mardi – L’évolution du Naming moteur

Note du mardiL’accord entre Red Bull Racing et Tag Heuer a surpris en deux temps. Dans un premier temps la marque quittait l’équipe McLaren, mettant fin à un partenariat né il y a 30 ans. Puis, dans un second temps par le fait que la marque horlogère donnera son nom au moteur de l’équipe autrichienne en 2016.  Ceci est le résultat d’une évolution et d’une adaptation du sponsoring.

Objectif : trouver un sponsor pour payer le moteur

Auparavant, dans le cas ou le constructeur l’acceptait, une équipe pouvait chercher un sponsor pour lui donner son nom à son moteur. Cela a été le cas entre 1997 et 2005 avec Petronas et Acer en 2001 avec Prost GP. Tout deux rebaptisant un moteur Ferrari client. Le concept était simple : le sponsor payait le devis du constructeur au moins à hauteur de 75%. C’est ainsi que des partenariats de plus de 20 millions d’euros ont vu le jour à l’époque.

Ensuite, les équipes ont pris conscience qu’une marque d’un constructeur était bonne pour la valorisation de leurs espaces publicitaires sur leurs voitures. Une filiation indispensable pour être prise aux sérieux, à l’heure ou les constructeurs automobiles prenaient le pouvoir en Formule 1. Malgré leur départ en masse en 2009, l’image du soutien d’une marque automobile était toujours indispensable (voir Note du Mardi : Un moteur premium égale du sponsoring)

2007, AT&T Williams et le début de l’innovation

Le premier tournant remonte à 2007. Williams F1 vend pour cinq ans contre 50 millions de dollars le sponsoring principal de son équipe à l’opérateur AT&T. L’équipe de Sir Frank Williams récidivera en 2014 avec Martini contre 10 millions d’euros minium sur trois ans. Ici, l’écurie anglaise ne vendait plus son emplacement, mais la place dans son nom. L’ère du naming. Toutefois elle ne sera jamais véritablement imitée (malgré un timide Lotus Renault GP en 2011).

En Formule 1 il y a trois noms possible dans une équipe. Le premier est souvent celui du sponsoring principal, le second le nom de l’équipe et enfin le troisième est le nom du moteur. Red Bull Racing depuis 2013 se nommait Infiniti Red Bull Racing Renault. Infiniti était son sponsors principal et Renault son partenaire moteur. Le principe que Renault fournisse une technologie moteur sans accepter d’y apposer son logo fait remonter à l’époque Ferrari de 1997 et à ouvert la porte à l’accord Red Bull Racing.

L’autre naming moteur

Toutefois, la marque autrichienne n’a pas vendue un devis sur la base du prix du moteur (30 millions d’euros en 2016), mais a reproduit à l’envers ce que Williams F1 a réalisé avec AT&T. Elle a ainsi vendu la place dans l’un de ses trois noms d’équipe,  comme du naming moteur. Une nomination d’une valeur estimée entre 5 et 10 millions d’euros et qui répond aux nouvelles ambitions de sponsoring de l’horloger du groupe français LVMH, qui multiplie les accords innovants et souhaite promouvoir sa future montre connectée.

En 2007, ce n’était plus un emplacement sur une carrosserie qui était vendu pour être sponsor principal, mais une dénomination. Avec l’accord Tag Heuer/RBR en 2016, nous avons le nom d’un partenaire qui paie une simple dénomination comme du naming et non un moteur simplement payé par un sponsor.

Voir également (Note du Mardi de 2013 : Le moteur (re)devient un support sponsoring)

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Transfert F1 2016

TomorrowNewsF1 fait le point sur les transferts et surtout la durée de contrat des pilotes envers leurs équipes.

Mercedes
Lewis Hamilton : jusqu’en 2018
Nico Rosberg : jusqu’en 2017

Ferrari
Sébastian Vettel : jusqu’en 2017
Kimi Raikkonen : jusqu’en 2016

Williams – Mercedes
Valteri Bottas : jusqu’en 2016
Felipe Massa : jusqu’en 2016

Red Bull – ???
Daniel Ricciardo : jusqu’en 2016
Daniil Kvyat : jusqu’en 2016

Force India (ou autre) – Mercedes
Sergio Perez : jusqu’en 2016
Nico Hulkenberg : jusqu’en 2017

Lotus (ou autre) – Renault ?
Pastor Maldonado : jusqu’en 2016
Jolyon Palmer : jusqu’en 2016

Toro Rosso – Ferrari ?
Caros Sainz jr : jusqu’en 2016
Max Verstappen : jusqu’en 2016

Sauber – Ferrari
Marcus Ericsson : jusqu’en 2016
Felipe Nasr : jusqu’en 2016

Mclaren – Honda
Fernando Alonso : jusqu’en 2017
Jenson Button : jusqu’en 2016

Manor – Mercedes
A suivre

Haas – Ferrari
Romain Grosjean : jusqu’en 2017
Esteban Gutierrez : jusqu’en 2017

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Note du Mardi : La Formule 1 à deux vitesses sportives

Note du mardiDepuis trente ans, une constante : Pour devenir champion du monde il faut le soutien d’un partenaire constructeur. Ferrari naturellement et surtout Mercedes étant des équipes de constructeurs, McLaren et Williams par le passé ont toujours aspiré à définir leur investissement dans le sport avec un constructeur automobile. Red Bull Racing a fait la même chose avec Renault depuis 2011.  Pour le reste du plateau les moteurs sont clients. L’instant de faire un classement des champions du monde des constructeurs clients.

Si la solution de signer un partenariat avec un constructeur était un objectif pour franchir un cap sportif et surtout économique, par le passé. Depuis 2010 le manque de solutions moteurs sur le marché a inscrit la Formule 1 dans une ère nouvelle, moins diversifiée. Ferrari, Mercedes-Benz et Renault ont le monopole. En 2010, Mercedes-Benz devenait propriétaire de Brawn GP, Renault était toujours présent dans les murs d’Enstone (jusqu’en 2011) et Red Bull était cliente de la marque au losange. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que Brawn GP et Red Bull en 2009 et 2010 étaient clientes de constructeurs et non équipe officielle lors de leur premier titre de champion du monde constructeur.

Le top 3 des équipes championnes du monde moteur client :

2015 : Williams devant Force India et Lotus (pour le moment)
2014 : Williams devant McLaren et Force India
2013 : Lotus devant McLaren et Force India
2012 : Lotus devant Sauber et Force India
2011 : Force India devant Sauber et Toro Rosso
2010 : Williams devant Force India et Sauber

Ce classement depuis 2010 est intéressant, car il met en avant une valorisation du moment présent. Les équipes prémiums visant le sommet du vrai classement, un classement parallèle c’est mis en place et ce valorise également. Williams sur la période a été trois fois championne du monde des clientes, ce qui lui permet d’être efficace économiquement. Comme Lotus d’ailleurs qui profite de ses saisons 2012 et 2013 et de sa bonne prestation en 2015, pour trouver une solution d’avenir. Notons que Force India dispose d’un palmarès assez intéressant, car toujours sur le podium depuis 6 saisons. Ce qui explique son attractivité du moment.

Ce classement explique également que malgré tout, il y a une Formule 1 à deux vitesses depuis la crise de 2008. Une avec les équipes premiums jouant la victoire et le vrai classement du championnat du monde. Profitant de la médiatisation pour trouver des sponsors. De l’autre un classement « client » qui est également valorisé par les équipes pour survivre et maintenir leur compétitivité auprès de sponsors, souvent nouveau dans la discipline, mais à l’investissement moindre.

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GP Brésil 2015 – Paddock Confidences

Interlagos GP 2015La proposition de Red Bull à Ferrari
L équipe autrichienne avait soumis l’idée à l’équipe de Maranello de lui fournir un moteur 2015, mais avec la possibilité pour Red Bull Racing de le modifier et d’apporter ainsi son concours à la lutte contre l’hégémonie de Mercedes-Benz. Contournant le réglement technique, mais avec l’aval de la FIA grâce au pouvoir de la marque italienne. Toro Rosso disposera d’un moteur 2015 simple.

Sauber contre les moteurs alternatifs
Monisha Kaltenborn, a critiqué ouvertement l’idée estimant que d’une part le coût annoncé (11 millions d’euros) ne sera que difficilement possible, puis que l’écart entre les moteurs hybrides et les nouveaux moteurs seront compliqués à équilibrer. Enfin, l’image « verte » de la F1 sera touchée, car les ravitaillements seraient à l’ordre du jour avec ce nouveau moteur. Sauber est ainsi septique sur l’efficacité de l’ensemble. l

La FIA a lancée l’appel d’offre moteur
Forçant la main des constructeurs présents actuellement en Formule 1, la Fédération Internationale de l’Automobile a lancé un appel d’offre pour le moteur alternatif. Répondant à l’idée de plusieurs équipes, d’être moins dépendant d’un constructeur pour évoluer techniquement. Bernie Ecclestone c’est longuement entretenue avec les dirigeants de Cosworth, mais c’est Illmor via Red Bull qui tiendrait la corde et proposerait le moteur non pas pour 11 millions, mais 6 ou 8 millions, selon les échos du paddock, car le moteur 2,2L Indycar ne coûte que 1,5 millions de dollars.

Guerre psychologique moteur
Sébastian Vettel a annoncé que l’écart de 20cv séparant le moteur Mercedes-Benz de Ferrari est désormais comblé. Confirmant les déclarations de Niki Lauda dans la presse allemande cette semaine. De son côté, Jenson Button a indiqué qu’il avait entendu que la Scuderia avait trouvé 100 cv dans son moteur en 2015, par rapport à celui de 2014.

Button, McLaren Honda et 2016
Jenson Button a annoncé qu’il estimait que la victoire n’était pas réellement possible en 2016 pour McLaren-Honda. une déclaration en contraste de son équipier Fernando Alonso qui estime qu’un bon hiver permettra à l’ensemble anglo-japonais de revenir sur le devant de la grille. Button en a profité également pour sous entendre que la saison prochaine pourrait être sa dernière en Formule 1, avant la retraite.

Alex Wurz team manager de Manor ? 
L’ex pilote autrichien aurait été approché par Stephen Fitzpatrick, patron de Manor, pour devenir team manager à partir de 2016. La petite équipe anglaise va recevoir la saison prochaine un moteur Mercedes-Benz et une assistance technique de Williams. Wurz n’a pas confirmé, ni démenti la nouvelle.

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